L’inclusion dans la liste de Jeune Afrique témoigne du potentiel que Daba voit dans les secteurs dynamiques.
Lengo.ai, une startup qui utilise l’intelligence artificielle pour aider les détaillants informels à gérer leurs stocks, a été nommée l’une des 20 entreprises africaines en démarrage les plus prometteuses par le magazine Jeune Afrique.
Cette reconnaissance met en évidence la manière dont les entreprises technologiques africaines peuvent avoir un impact réel en résolvant les problèmes de manière innovante.
Le système d’assistance vocale de Lengo.ai comble le fossé entre les grands producteurs alimentaires et les petits détaillants en rationalisant la distribution. Cela démontre le potentiel de la technologie à transformer les industries et à améliorer les moyens de subsistance à travers le continent.
Chez Daba, notre engagement à favoriser la croissance économique et l’innovation en Afrique se manifeste par notre partenariat avec des startups comme Lengo.ai.
En tant que partie intégrante de notre portefeuille d’investissement, Lengo.ai représente un atout stratégique et met en avant notre rôle dans le soutien aux entreprises innovantes prêtes à diriger la révolution technologique en Afrique.
Grâce à notre plateforme, Daba offre aux investisseurs particuliers et institutionnels une exposition à une gamme d’opportunités, y compris des entreprises technologiques et commerciales pionnières comme Lengo.ai.
L’inclusion de la startup dans la liste de Jeune Afrique témoigne du potentiel que nous voyons dans ces secteurs dynamiques et souligne les types d’entreprises à fort impact que Daba cherche à soutenir.
On s’attend à ce que l’Afrique représente jusqu’à 40 % de la population humaine d’ici la fin du 21e siècle, le marché des produits de grande consommation étant positionné pour devenir son premier secteur industriel d’importance mondiale.
Pour plus de détails sur la manière dont Lengo.ai utilise l’IA pour transformer le commerce informel, et le rôle de Daba, vous pouvez lire l’étude de cas disponible en français et en anglais. Elle offre un aperçu du parcours de Lengo.ai et de l’approche de Daba pour identifier les startups prometteuses.
Investissez avec Daba aujourd’hui et faites partie du paysage technologique en plein essor de l’Afrique. Stimulez la croissance et l’innovation avec nous, en exploitant le riche potentiel et l’esprit entrepreneurial vibrant du continent.
Pour plus d’informations sur la manière d’investir avec Daba et pour découvrir d’autres histoires de réussite comme Lengo.ai, visitez notre site web.
Dividendes élevés sur les Bourses Africaines : La clé pour optimiser votre portefeuille d’investissements en Afrique
Les investisseurs sont toujours à la recherche de moyens pour optimiser leurs portefeuilles et maximiser leurs rendements. L’une des techniques les plus efficaces consiste à tirer parti des rendements sur dividendes, en particulier sur les Bourses Africaines. Dans cet article, nous allons explorer cette stratégie d’optimisation de portefeuille, en examinant ses avantages, ses risques potentiels et comment la plateforme d’investissement Daba peut vous aider à mettre en œuvre cette technique.
Qu’est-ce que l’optimisation de portefeuille par les dividendes ?
L’optimisation de portefeuille par les dividendes consiste à investir dans des actions d’entreprises qui versent régulièrement des dividendes élevés. Le rendement sur dividendes est le rapport entre le dividende annuel par action et le prix de l’action. Plus le rendement est élevé, plus l’investisseur reçoit de revenus passifs.
Avantages de cette stratégie
Génération de revenus passifs : Les dividendes fournissent un flux de trésorerie régulier, permettant aux investisseurs de bénéficier d’un revenu passif en plus des plus-values potentielles.
Stabilité : Les entreprises qui versent régulièrement des dividendes sont souvent bien établies et financièrement stables, offrant une certaine sécurité aux investisseurs.
Protection contre la volatilité du marché : Les actions à dividendes élevés peuvent aider à atténuer les effets de la volatilité du marché, les revenus de dividendes compensant les éventuelles baisses de cours.
Risques potentiels
Réduction ou suspension des dividendes : Les entreprises peuvent décider de réduire ou de suspendre leurs versements de dividendes en fonction de leurs performances financières ou de leur stratégie.
Manque de croissance : Les entreprises versant des dividendes élevés peuvent avoir moins de ressources à consacrer à leur croissance, limitant leur potentiel d’appréciation du cours de l’action.
Prix élevés des actions : Les sociétés qui versent régulièrement des dividendes élevés peuvent voir le cours de leurs actions augmenter rapidement, ce qui peut modifier le rendement pour les investisseurs qui achètent ces actions à des cours plus élevés.
Exemple sur la BRVM
Prenons l’exemple de BOA Bénin, cotée sur la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM). En mai 2024, BOA Bénin devrait verser un dividende de 706 FCFA par action, soit un rendement sur dividendes de 10,17%. En investissant dans cette action avant la date de détachement du coupon (23/05/2024), vous pouvez bénéficier de ce rendement attractif et optimiser votre portefeuille.
La plateforme d’investissement Daba simplifie l’accès aux opportunités d’investissement sur les Bourses Africaines, y compris la BRVM. Avec Daba, vous pouvez facilement rechercher et investir dans des actions à dividendes élevés, tout en bénéficiant d’outils et de ressources pour prendre des décisions éclairées.
Pour en savoir plus sur l’investissement en Bourse sur Daba, rendez vous sur la plateforme Daba https://daba.finance/app
Nous vous invitons a consultez notre guide complet sur l’investissement en Bourse sur Daba disponible ici.
Conclusion L’optimisation de portefeuille par les dividendes est une stratégie puissante pour les investisseurs cherchant à générer des revenus passifs et à potentiellement atténuer les risques sur les Bourses Africaines. En utilisant la plateforme Daba, vous pouvez tirer parti de cette technique et accéder à des opportunités d’investissement attractives. Commencez dès maintenant à optimiser votre portefeuille et à vous construire un avenir financier plus solide sur le continent Africain.
Le potentiel économique florissant de l’Afrique offre d’immenses opportunités, mais attirer davantage d’investissements étrangers nécessite une position stratégique des entreprises à travers le continent.
En adoptant les bonnes stratégies, les entreprises africaines peuvent accroître leur attrait pour les investisseurs étrangers et débloquer un flot de capitaux pour alimenter l’innovation, la croissance et la résilience.
Stratégies pour les entreprises africaines afin d’attirer plus d’investissements étrangers
1. Préparer l’Investissement
La base de l’attraction des investissements directs étrangers réside dans le fait de s’assurer que vos opérations, vos finances et votre gouvernance sont conformes aux meilleures pratiques internationales. Les investisseurs recherchent des entreprises ayant des fondamentaux solides, des normes mondiales et un engagement envers la transparence.
Les entreprises africaines doivent prioriser la professionnalisation de leurs opérations avant de se lancer dans des démarches de collecte de fonds. Cela inclut la mise en œuvre de rapports financiers solides, le renforcement de la gouvernance d’entreprise et le respect des exigences de conformité spécifiques à l’industrie.
2. Exploiter les Plateformes d’Accès aux Investissements
Rejoindre des plateformes de collecte de fonds panafricaines peut considérablement accroître la visibilité et fournir des canaux de transactions vérifiés que les investisseurs étrangers font confiance.
Ces plateformes rationalisent le flux de transactions à grande échelle, connectant les entreprises africaines à un réseau mondial d’investisseurs recherchant activement des opportunités sur le continent. En exploitant ces plateformes, les entreprises africaines peuvent efficacement présenter leur potentiel à un public ciblé de parties intéressées.
Êtes-vous une startup ou une entreprise en phase de démarrage cherchant à stimuler votre expansion ? Daba se spécialise dans la fourniture de solutions complètes de collecte de fonds conçues pour propulser votre entreprise vers de nouveaux sommets. Consultez dès maintenant cette page sur notre site web et découvrez comment nous pouvons vous aider à accéder aux ressources dont vous avez besoin pour prospérer.
3. Mettre en Avant les Secteurs à Fort Potentiel
Pour captiver l’attention des investisseurs étrangers, il est crucial de mettre en avant les industries à fort potentiel du continent au-delà des récits traditionnels de matières premières et d’extraction. L’Afrique compte de nombreux secteurs prometteurs, notamment la technologie financière, l’agroalimentaire, les énergies renouvelables, les infrastructures et les technologies de l’information.
En mettant en avant les perspectives de croissance et les opportunités inexploitées dans ces secteurs, les entreprises africaines peuvent communiquer efficacement le paysage économique diversifié du continent et attirer des investissements alignés sur les tendances mondiales.
4. Promouvoir les Success Stories et la Preuve Sociale
Lorsque les entreprises africaines démontrent des rendements solides aux premiers investisseurs étrangers, la promotion de ces success stories peut inspirer confiance et attirer davantage d’investissements.
Le succès engendre le succès, et en mettant en avant des cas exemplaires de projets rentables, les entreprises africaines peuvent tirer parti de la preuve sociale pour convertir les sceptiques et débloquer des flux de capitaux supplémentaires. Ces success stories servent de puissants témoignages du potentiel d’investissement en Afrique.
5. Mettre l’Accent sur l’Impact Économique Inclusif
À une époque où les investisseurs accordent de plus en plus d’importance aux normes environnementales, sociales et de gouvernance (ESG), les entreprises africaines doivent souligner comment leurs activités contribuent à la création d’emplois durables, au développement des compétences, à l’autonomisation des femmes et à la résilience climatique.
En s’alignant sur ces priorités mondiales, les entreprises africaines peuvent se positionner comme des catalyseurs de la croissance économique inclusive, en résonance avec les valeurs et les objectifs des investisseurs socialement responsables.
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Avec une approche stratégique et un engagement envers l’excellence, les entreprises africaines peuvent surmonter les obstacles historiques et débloquer le vaste potentiel que les investissements directs étrangers représentent pour la transformation économique du continent.
En adoptant ces stratégies, l’Afrique peut ouvrir la voie à un avenir de prospérité, d’innovation et de croissance durable, alimenté par l’afflux de capitaux mondiaux.
La collecte de fonds peut être un défi intimidant pour les startups et les entreprises en phase de démarrage. Daba est là pour simplifier le processus avec nos solutions expertes de collecte de fonds. Visitez notre site web dès aujourd’hui pour découvrir comment nos services peuvent vous aider à naviguer dans le paysage de la collecte de fonds et à sécuriser les investissements qui stimulent votre croissance.
La part relative du stock d’IDE de l’Afrique en provenance d’Europe a diminué au cours de la dernière décennie, tandis que celle de l’Asie a augmenté.
L’investissement direct étranger (IDE) se produit lorsqu’une personne ou une entreprise d’un pays investit dans une entreprise d’un autre pays et en prend le contrôle significatif, généralement en possédant 10 % ou plus de son pouvoir de vote.
L’IDE est crucial pour relier les économies à l’échelle mondiale, car il établit des liens durables entre elles. C’est un moyen vital pour que la technologie circule entre les pays, stimule le commerce international en offrant un accès à de nouveaux marchés, et joue un rôle majeur dans la croissance économique.
Ainsi, nous discutons des principaux pays qui représentent la plus grande part des flux d’IDE vers les marchés africains. Mais d’abord, pourquoi l’IDE est-il important pour l’Afrique, et quelles sont les dernières tendances en matière d’investissement direct étranger sur le continent ?
Pourquoi l’Investissement Étranger est-il Important pour l’Afrique ?
Pour l’Afrique, l’IDE est crucial pour plusieurs raisons. Premièrement, il apporte un capital indispensable pour le développement des infrastructures, la création d’emplois et le transfert de technologie, qui sont essentiels à la croissance économique.
L’IDE facilite également la diversification des économies en introduisant de nouvelles industries et en améliorant celles qui existent déjà. De plus, il favorise le commerce et renforce l’intégration économique mondiale en connectant les marchés africains aux réseaux internationaux.
En outre, l’IDE s’accompagne souvent d’expertise, de compétences en gestion et d’un accès aux marchés mondiaux, ce qui peut aider les entreprises locales à s’étendre et à devenir plus compétitives.
En outre, il favorise l’innovation et les améliorations de productivité grâce aux transferts de connaissances et à la diffusion de la technologie. Enfin, l’IDE contribue à la stabilité des économies africaines en fournissant une source stable de financement externe et en réduisant la dépendance à l’égard de sources volatiles telles que l’aide étrangère ou les exportations de produits de base.
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Dernières Tendances des Flux d’IDE vers l’Afrique
Le Rapport sur l’Investissement Mondial de la CNUCED pour l’année 2023 révèle que les investissements étrangers en provenance de l’étranger vers l’Afrique sont passés à 45 milliards de dollars en 2022, contre un record de 80 milliards de dollars en 2021. Cela représentait 3,5 % de l’investissement mondial total.
En Afrique du Nord, l’Égypte a vu un gros bond des investissements étrangers à 11 milliards de dollars en raison de plus d’entreprises achetant et fusionnant. Le nombre de nouveaux projets annoncés a plus que doublé pour atteindre 161. Les accords pour des projets internationaux ont également augmenté des deux tiers pour atteindre 24 milliards de dollars. Cependant, l’investissement au Maroc a légèrement baissé de 6 % pour atteindre 2,1 milliards de dollars.
En Afrique de l’Ouest, le Nigeria a enregistré un investissement étranger négatif de -187 millions de dollars car certains investisseurs se sont retirés. Mais le nombre de nouveaux projets a augmenté de 24 % pour atteindre 2 milliards de dollars. L’investissement au Sénégal est resté le même à 2,6 milliards de dollars, tandis que le Ghana a vu une diminution de 39 % pour atteindre 1,5 milliard de dollars.
En Afrique de l’Est, l’investissement en Éthiopie a chuté de 14 % pour atteindre 3,7 milliards de dollars, mais il a quand même reçu le deuxième investissement étranger le plus important sur le continent. L’investissement en Ouganda a augmenté de 39 % pour atteindre 1,5 milliard de dollars en raison d’investissements dans l’extraction de ressources. La Tanzanie a enregistré une augmentation de 8 % pour atteindre 1,1 milliard de dollars.
En Afrique Centrale, l’investissement en République Démocratique du Congo est resté le même à 1,8 milliard de dollars, principalement grâce aux investissements dans les champs pétrolifères et l’exploitation minière.
En Afrique Australe, l’investissement étranger en Afrique du Sud s’est élevé à 9 milliards de dollars, moins qu’en 2021 mais le double de la moyenne des dix dernières années. En Zambie, après deux années de pertes, l’investissement étranger a augmenté pour atteindre 116 millions de dollars.
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Au cours des cinq dernières années, l’investissement étranger a augmenté dans quatre des groupes économiques en Afrique.
L’investissement dans le Marché Commun de l’Afrique Orientale et Australe a augmenté de 14 % pour atteindre 22 milliards de dollars. Il a également augmenté dans la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (multiplié par quatre pour atteindre 10 milliards de dollars), l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (doublant pour atteindre 5,2 milliards de dollars), et la Communauté d’Afrique de l’Est (en hausse de 9 % pour atteindre 3,8 milliards de dollars).
De manière générale, les destinations de l’IDE en Afrique ont évolué au cours de la dernière décennie, avec l’Afrique du Nord et l’Afrique Australe – qui représentaient la majorité de l’IDE à mi-2000 – perdant des parts d’IDE au profit de l’Afrique de l’Est.
Sources des Flux d’IDE vers l’Afrique
Les investisseurs européens restent la source la plus importante de stock d’IDE en Afrique, avec en tête le Royaume-Uni (60 milliards de dollars), la France (54 milliards de dollars), et les Pays-Bas (54 milliards de dollars) au cours des cinq dernières années.
Mais la part relative du stock d’IDE de l’Afrique provenant de l’Europe a diminué au cours de la dernière décennie, tandis que la part de l’Asie a augmenté – la Chine étant actuellement en tête.
Nous explorons les principales sources des flux d’IDE vers l’Afrique, sur la base des données de la recherche de l’Institut Brookings de l’année 2014 à 2018.
Chine
La Chine est le plus grand investisseur mondial en Afrique en termes de capital total. Elle a investi plus de 72 milliards de dollars sur le continent de 2014 à 2018. Cet investissement a créé plus de 137 000 emplois à travers 259 projets.
France
La France a investi 34 milliards de dollars en Afrique sur la même période, créant 58 000 emplois dans 329 projets. Les investissements de la France sont cruciaux pour ses anciennes colonies en Afrique, telles que le Nigeria, le Maroc, l’Algérie et la Côte d’Ivoire.
États-Unis
L’investissement direct américain en Afrique s’est élevé à près de 31 milliards de dollars de 2014 à 2018. Les États-Unis étaient responsables de 463 projets sur le continent, soit le plus grand nombre par rapport à tout autre pays. Ces projets ont créé 62 000 emplois. Les entreprises américaines continuent de rechercher des opportunités d’investissement en Afrique.
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Émirats Arabes Unis
Les Émirats Arabes Unis (EAU) ont versé plus de 25 milliards de dollars en Afrique au cours de quatre années. Cela est logique étant donné la proximité des Émirats Arabes Unis avec l’Afrique de l’Est, car ils se trouvent à l’extrémité orientale de la péninsule arabique.
Les investissements en capital des Émirats Arabes Unis en Afrique devraient augmenter fortement dans les années à venir : Le gouvernement en 2020 a annoncé une initiative de 500 millions de dollars pour aider la jeunesse africaine et numériser les ressources.
Fin 2019, les Émirats Arabes Unis ont déclaré finaliser un accord de libre-échange avec un consortium de pays africains, et le mois dernier, ils ont signé un accord de 35 milliards de dollars avec l’Égypte pour développer un tronçon stratégique de la côte méditerranéenne du pays nord-africain.
Royaume-Uni
Le Royaume-Uni a investi près de 18 milliards de dollars en Afrique de 2014 à 2018, couvrant 286 projets et créant 41 000 emplois. Le Royaume-Uni, comme la France, entretient toujours des liens forts avec ses anciennes colonies en Afrique, telles que Sierra Leone, le Kenya, le Zimbabwe, l’Ouganda, la Zambie, la Tanzanie et l’Égypte.
Entre 2014 et 2018, l’investissement direct chinois sur le continent africain représentait la principale source d’IDE.
Pourquoi Plus de Pays Investissent en Afrique
L’Afrique représente un marché significatif et inexploité pour l’investissement étranger. Ses 54 pays abritent 1,3 milliard de personnes, dont beaucoup sont jeunes et auront besoin de bons emplois dans les années à venir, ainsi qu’une abondance de ressources naturelles, du pétrole à l’or en passant par les diamants et le lithium.
De plus, la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAF), qui relie 1,3 milliard de personnes de 55 pays, offre une grande chance pour l’économie africaine de croître et entraînera très probablement plus d’investissements étrangers en Afrique en réduisant les règles et en facilitant l’accès aux nouveaux marchés.
Comment les investisseurs peuvent-ils se positionner au mieux pour saisir les opportunités découlant de ces développements rapides dans le paysage d’investissement en Afrique ?
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Bien que les entreprises publiques dirigées par des femmes restent rares en Afrique, celles ayant une femme à leur tête surclassent financièrement leurs homologues par une marge considérable.
À travers le continent africain, seulement 5% des entreprises cotées sur les 29 bourses ont une femme comme PDG, comme révélé par une étude de 2 020 entreprises et les données de Bloomberg, présentées dans la Liste Définitive des PDG Féminines d’Africa.com et du Groupe Standard Bank.
L’analyse, qui a couvert 93 femmes dans 17 pays, a révélé que bien que les entreprises dirigées par des femmes restent rares en Afrique, celles dirigées par une femme surpassent financièrement de manière substantielle.
Cette tendance à la surperformance des grandes entreprises cotées dirigées par des femmes en Afrique reflète un schéma mondial. Les recherches de McKinsey de 2020 ont montré que les entreprises du quartile supérieur pour la diversité des genres au sein des équipes de direction étaient 25 % plus susceptibles d’avoir une rentabilité supérieure à la moyenne que celles du quartile inférieur.
Pour célébrer les performances exceptionnelles des entreprises dirigées par des femmes en Afrique et au-delà, nous répertorions les femmes qui ont accédé à des postes de leadership de premier plan à travers le continent selon le classement de la Liste Définitive, explorant leurs parcours vers le succès et leurs réalisations remarquables.
Une dirigeante minière chevronnée, Nompumelelo Zikalala (Mpumi), occupe le poste de PDG de Kumba Iron Ore, une filiale d’Anglo American, depuis janvier 2022. Avec plus de deux décennies d’expérience, elle a joué un rôle crucial dans la promotion de la diversité et de la durabilité dans l’industrie. Sous sa direction, Kumba, le plus grand producteur de minerai de fer d’Afrique, a livré des résultats financiers résilients en 2022 tout en se concentrant sur la sécurité et la durabilité.
La carrière de 20 ans de Mpumi chez De Beers l’a vue occuper des postes opérationnels et commerciaux de haut niveau, devenant la première femme GM en 2007. Elle était GM à la mine de Voorspoed, Directrice Générale Adjointe des Mines Consolidées de De Beers et Directrice Générale des Opérations Gérées par le Groupe De Beers supervisant les opérations sud-africaines et canadiennes. Classée parmi les 100 Femmes Inspirantes Mondiales dans l’Industrie Minière en 2018, Mpumi est passionnée par l’implication des femmes et des jeunes dans l’industrie.
Diplômée en génie chimique de l’Université du Witwatersrand, elle a commencé sa carrière en tant que boursière chez Anglo-American. L’expérience diversifiée de Mpumi et son engagement envers la transformation font d’elle une force pionnière dans le secteur minier.
Nompumelelo Zikalala (Mpumi) a fait l’histoire en 2020 lorsqu’elle est devenue la seule PDG noire parmi les 450 premières entreprises cotées à la Bourse de Johannesburg, juste avant son 40e anniversaire, en prenant les rênes du Bidvest Group. Malgré sa prise de fonction en pleine pandémie, Mpumi a dirigé avec succès le conglomérat industriel, avec des intérêts dans le fret, les biens de consommation et commerciaux, vers des bénéfices à deux chiffres – enregistrant une augmentation de 15 % pour atteindre 9,7 milliards de rands. Sous sa direction, Bidvest a également élargi son segment des énergies renouvelables et alternatives.
Avec quatre ans d’expérience chez Bidvest, occupant des postes tels que Directrice des Ventes et du Marketing de Groupe et Directrice Exécutive, Mpumi a gravi les échelons en tant que PDG en attente avant sa transition historique vers le poste de PDG. Ses “compétences de leadership exceptionnelles et sa profondeur d’expérience” ont été saluées par l’ancien PDG.
Avocate passionnée du mentorat et du leadership féminin, Mpumi s’est concentrée sur la création d’un environnement propice à la réussite des femmes et à leur avancement. Sa carrière pionnière, qui s’étend sur plus de deux décennies dans les secteurs minier et industriel, en fait une force pionnière pour la diversité et la transformation dans les affaires sud-africaines.
Bertina Engelbrecht a fait l’histoire au début de l’année 2022 lorsqu’elle est devenue la première femme noire à diriger un groupe de distribution coté en Afrique du Sud en tant que PDG de Clicks Group. Sous sa direction, Clicks a réalisé une croissance impressionnante du chiffre d’affaires et des bénéfices, a étendu son réseau de distribution au détail et a acquis sa première pharmacie ouverte 24 heures sur 24, avec des plans d’expansion agressifs pour 2023.
La nomination d’Engelbrecht a clôturé 15 années au sein de l’équipe de direction, où elle a joué un rôle crucial dans la croissance stratégique de Clicks en un leader de la santé et du bien-être. En tant que Directrice des Ressources Humaines de Groupe depuis 2006, elle a milité pour l’intégration de l’agenda des personnes dans les opérations et a lancé un régime de partage des bénéfices des employés très réussi.
Avant Clicks, Engelbrecht a occupé des postes de direction chez Shell SA Energy, Shell Oil Products Africa et Sea Harvest. Avocate admise avec un Master en Droit de l’Université du Cap, son parcours juridique et son expérience intersectorielle en RH et en efficacité organisationnelle l’ont préparée au rôle de PDG.
Engelbrecht dirige désormais la trajectoire de Clicks, tirant parti de sa combinaison unique d’expertise juridique, de sens des affaires et de passion pour le développement des personnes en tant que première femme noire à la tête du géant de la distribution.
Nombasa Tsengwa est largement considérée comme l’une des dirigeantes les plus travailleuses de l’industrie minière, ayant remporté de nombreux prix au cours de ses deux décennies d’expérience en gestion et au sein de conseils d’administration des secteurs public et privé. Parmi ceux-ci, le prix de la Femme d’Affaires de l’Année de la Standard Bank en 2017 et le titre de Femme la Plus Influente d’Afrique dans les Affaires et le Gouvernement dans l’Industrie Minière aux Pan African Awards de 2018.
Elle a passé 20 ans chez Exxaro Resources, l’une des principales entreprises minières et d’énergies renouvelables d’Afrique du Sud, occupant des postes de plus en plus importants comme la direction des opérations charbonnières et la direction du secteur minéral. Nombasa a joué un rôle clé dans la formulation de la stratégie bas-carbone d’Exxaro.
Dans le cadre d’un plan de succession minutieux, Nombasa a été nommée PDG désignée d’Exxaro, cotée à la Bourse de Johannesburg, dirigée et dirigée par des Noirs, en 2021, devenant PDG 18 mois plus tard. Depuis son arrivée à la tête de l’entreprise, elle a renforcé l’équipe de direction, élargi la présence géographique de l’entreprise et renforcé les capacités de gestion de projet, de contrôle des coûts et d’allocation des capitaux.
L’ascension de Nombasa dans la hiérarchie d’Exxaro, sa capacité à conduire des initiatives stratégiques comme la transition bas-carbone et sa reconnaissance en tant que l’une des dirigeantes minières les plus influentes d’Afrique soulignent qu’elle est une force pionnière dans l’industrie. Son leadership sera crucial alors qu’Exxaro poursuit sa transformation.
Depuis plus d’une décennie en tant que PDG de Royal Bafokeng Holdings, Albertinah Kekana a exécuté avec adresse la stratégie de diversification du portefeuille de la société d’investissement communautaire. Sa carrière de 20 ans couvre des postes exécutifs et non exécutifs dans les secteurs minier, des services financiers, du pétrole et du gaz, des télécommunications, de l’infrastructure numérique et de l’énergie.
L’expertise financière de Kekana est étendue, notamment des passages en banque d’investissement chez Rothschild et UBS, où elle était directrice des finances d’entreprise. Elle a passé huit ans en tant que directrice des opérations chez Public Investment Corporation, stimulant la performance de l’entreprise. Ses débuts de carrière comprenaient trois ans en tant que gestionnaire adjointe en finance d’entreprise chez PwC.
Comptable agréée de formation, Kekana détient un diplôme en commerce de l’Université du Cap et a suivi une formation en gestion avancée à Harvard. Son expérience de leadership intersectorielle, son flair pour l’investissement et son exécution stratégique en font une autorité dans le paysage de la gestion d’actifs et des investissements en Afrique du Sud. Sous sa direction, Royal Bafokeng s’est diversifié en une force d’investissement sectorielle redoutable.
Miriam Chidiebele Olusanya, la Directrice Générale de la Guaranty Trust Bank, est une leader visionnaire dans le domaine financier, renommée pour son engagement envers l’excellence. Issu de modestes origines au Nigeria, son parcours a été marqué par une brillance académique et une affinité naturelle pour les chiffres. Grimpant les échelons avec ténacité et intelligence stratégique, elle dirige désormais l’institution avec confiance.
Sous la direction de Miriam, la Guaranty Trust Holding Company a connu une croissance remarquable, consolidant sa position dans le monde financier. Son regard perspicace sur les tendances du marché assure la résilience de l’entreprise dans des paysages économiques dynamiques. Au-delà de ses réalisations professionnelles, Miriam se consacre à l’encouragement de la prochaine génération de leaders à travers des initiatives de mentorat.
Connu pour sa chaleur et son humilité, Miriam inspire ses collègues à aspirer à la grandeur. Son histoire, d’un érudit de petite ville à une pionnière dans le domaine financier, est un témoignage de détermination et de résilience. Avec Miriam à sa tête, la Guaranty Trust Holding Company est prête pour un succès et une prospérité continus.
PDG et Directrice Générale du Groupe, East African Breweries PLC (EABL)
Chiffre d’affaires : 970 millions de dollars
Pays : Kenya
En tant que Directrice Générale et PDG de EABL depuis 2021, Jane Karuku a marqué l’histoire en devenant la première femme à diriger cette entreprise centenaire. Elle est l’une des dirigeantes d’entreprise les plus importantes d’Afrique de l’Est, dirigeant la plus grande et la plus rentable entreprise de fabrication de la région avec plus de 40 marques mondiales comme Johnnie Walker et Guinness.
Sous la direction de Karuku, EABL a connu un renversement financier et opérationnel remarquable. En 2021, elle a supervisé une augmentation de 15% des ventes nettes d’une année sur l’autre, atteignant 86 milliards de shillings, dépassant ainsi les niveaux d’avant la pandémie de 2019. Son leadership a également permis à EABL de publier son premier rapport de durabilité avec des initiatives comme un fonds de récupération de 5 millions de dollars pour les pubs/bars et une ambition d’approvisionnement local jusqu’à 80% des matières premières.
La carrière de 25 ans de Karuku comprend des entreprises de biens de grande consommation et des ONG, accumulant une expertise en stratégie, opérations, marketing et changement organisationnel. Elle a occupé des postes de direction chez Farmers Choice Kenya, Kenya Cooperative Creameries, Alliance for a Green Revolution in Africa, Telkom Kenya où elle a dirigé une transformation, et Cadbury avec un mandat multi-pays.
Son expérience solide en gestion et sa contribution au développement socio-économique du Kenya lui ont valu de nombreux prix, dont un prix présidentiel. Karuku est titulaire d’un MBA en Marketing de l’Université de Californie.
8. Ntombi Felicia Msiza
PDG, Raubex Group Ltd
Chiffre d’affaires : 781 millions de dollars
Pays : Afrique du Sud
La dirigeante chevronnée Ntombi Felicia Msiza a assumé le rôle de PDG du géant de la construction Raubex Group à la mi-2022, après cinq ans en tant que Directrice Exécutive responsable de la Gouvernance, du Risque et de la Conformité.
L’expertise étendue de Ntombi en matière d’éthique, de stratégie, de gestion des risques, de gouvernance d’entreprise, d’affaires juridiques et de conformité s’est avérée inestimable. Son orientation a permis à Raubex de renforcer ses structures et ses processus pour soutenir la croissance significative de l’entreprise au cours des six dernières années.
Avant de rejoindre Raubex, Ntombi a eu une longue carrière dans des postes d’audit et de gestion des risques. Elle a été Directrice du Risque et de l’Assurance à City Power SOC, Chef de l’Audit Interne à IDT, et Chef de l’Audit Exécutif de Groupe à Denel SOC.
Directrice de la Gouvernance, Ntombi est titulaire d’un diplôme en commerce et d’un MBA. Son expérience interfonctionnelle dans les domaines de la gouvernance, du risque, de la conformité, de l’audit et de la stratégie la positionne bien pour diriger l’expansion continue de Raubex dans le secteur de la construction.
La nomination de Ntombi en tant que PDG capitalise sur sa compréhension approfondie des opérations de Raubex de par son rôle exécutif précédent, combinée à son bilan éprouvé en matière de gouvernance et de gestion des risques pour des organisations majeures.
Depuis sa nomination en tant que PDG de la Fidelity Bank en 2021, Nneka Onyeali-Ikpe a remporté de nombreux prix, dont celui de Banquier de l’Année et a conduit Fidelity à remporter des prix comme la Meilleure Banque pour les PME Nigeria 2022. Leader transformationnelle, Nneka a dirigé le redressement de Fidelity sur six ans en tant que Directrice Exécutive, stimulant la rentabilité de la direction de Lagos et du Sud-Ouest et contribuant à hauteur de 28% aux bénéfices de la banque, aux dépôts et aux prêts.
Sa carrière bancaire de trois décennies a affiné son expertise stratégique, notamment des rôles dans le redressement réussi de l’Enterprise Bank. Nneka a une expérience de gestion interfonctionnelle couvrant le juridique, l’investissement, la vente au détail, les affaires commerciales et bancaires chez des institutions majeures comme Standard Chartered et Zenith Bank.
Autorité en matière de structuration de transactions dans les secteurs du pétrole et du gaz, de la fabrication, de l’aviation et de l’immobilier, Nneka est titulaire d’une licence en droit et d’une maîtrise de l’Université du Nigeria et de King’s College. Elle a suivi une formation exécutive approfondie à Harvard, INSEAD et à l’école de commerce Wharton.
L’acuité juridique de Nneka, son expérience de leadership interfonctionnel conduisant des initiatives de transformation et ses compétences éprouvées en redressement la préparent bien à diriger la croissance continue de la Fidelity Bank.
Le parcours de près de deux décennies de Zanele Matlala chez Merafe Resources a culminé avec sa nomination en tant que PDG il y a une décennie. Ayant rejoint la société minière cotée en bourse JSE en tant que directrice non exécutive indépendante en 2005 avant de devenir directrice financière en 2010, la compréhension approfondie de l’entreprise par Matlala s’est avérée inestimable.
Sous sa direction, Merafe a annoncé son deuxième plus gros bénéfice net en 2017 et a navigué avec habileté dans le rebond de la pandémie, restaurant la rentabilité. L’entreprise est maintenant l’une des meilleures “actions à dividendes” de la JSE, avec un rendement de 25 %, reflétant la direction prudente mais réussie de Matlala.
Expert-comptable de profession, l’expertise de Matlala en finance d’entreprise couvre des postes comme Directrice Financière chez Kagiso Trust Investments et Directrice Financière chez la Banque de Développement d’Afrique Australe. L’année dernière, son leadership et ses contributions ont été reconnus par le prestigieux Prix des Anciens Exceptionnels lors des Chancellor’s Calabash Awards.
L’acuité financière de Matlala, sa connaissance institutionnelle de Merafe à partir de postes d’administrateur et d’exécutif, et sa capacité avérée à diriger l’entreprise minière à travers les cycles de l’industrie la positionnent de manière unique pour conduire son succès continu.
Les réalisations remarquables de ces principales PDG féminines dirigeant les plus grandes entreprises publiques d’Afrique soulignent les contributions inestimables des femmes à la réussite financière et à la promotion de la diversité et de l’inclusion dans les affaires sur le continent.
À ceux qui souhaitent soutenir et investir dans des entreprises dirigées par des femmes, nous vous invitons à vous joindre à nous pour briser les barrières et promouvoir la diversité dans le leadership d’entreprise à travers les marchés africains.
Que vous soyez un investisseur individuel ou institutionnel, téléchargez dès maintenant l’application Daba ou remplissez un formulaire sur notre site web pour découvrir des opportunités d’investissement dans des entreprises visionnaires dirigées par des femmes exceptionnelles.
L’esprit entrepreneurial en Afrique est en plein essor, avec des startups et des petites entreprises stimulant en grande partie l’innovation, la création d’emplois et la croissance économique sur le continent.
En tant que membre de la diaspora africaine, investir dans ces ventures prometteuses offre une opportunité unique de générer des rendements financiers tout en ayant un impact social significatif dans les communautés qui vous tiennent à cœur.
Cependant, naviguer dans l’écosystème des startups africaines vaste et diversifié peut être intimidant pour les investisseurs. Par où commencer ? Comment identifier et accéder à des transactions à fort potentiel ? Et quels changements de mentalité sont nécessaires pour dépasser les perceptions obsolètes et débloquer l’immense potentiel entrepreneurial de l’Afrique ?
Voici 5 choses clés à savoir basées sur les idées partagées par les panelistes experts Jennifer Frimpong de Ma Adjaho & Co et le PDG de ARED Henri Nyakarundi lors de la récente partie 1 de notre série de webinaires axés sur l’investissement de la diaspora.
Les plateformes vérifiées comblent le fossé de confiance
1. Les plateformes vérifiées renforcent la confiance et élargissent les opportunités. Avec 54 pays, l’Afrique est un continent vaste et diversifié. Identifier et accéder à des opportunités d’investissement de haute qualité nécessite un accès fiable et une expertise locale.
Des plateformes comme Daba vérifient minutieusement les startups et les petites entreprises, effectuant des diligences raisonnables rigoureuses pour mettre en lumière des ventures prometteuses dans différents secteurs et pays. Cela permet aux investisseurs d’explorer en toute confiance des transactions au-delà des pays et régions familiers, élargissant ainsi leur ensemble d’opportunités.
Dépasser les perceptions obsolètes
2. Regardez au-delà des perceptions obsolètes du paysage des affaires en Afrique. Trop souvent, les investisseurs continuent de voir le continent à travers un prisme obsolète axé principalement sur les industries extractives telles que l’exploitation minière et le pétrole et le gaz. Mais de nouveaux secteurs dynamiques tels que l’agro-industrie, la technologie financière, la logistique et les énergies renouvelables offrent désormais un immense potentiel d’innovation et de croissance.
Évaluez chaque opportunité de startup ou de petite entreprise en fonction de ses mérites propres, plutôt que de rejeter des industries entières en raison de vieux stéréotypes sur le marché africain.
Favoriser le chemin vers la préparation à l’investissement
3. Il est important de comprendre que de nombreuses startups et petites entreprises africaines prometteuses nécessitent un accompagnement et un soutien pour atteindre l’échelle et la “préparation à l’investissement” qui les rendent attrayantes pour les investisseurs.
Elles ont des idées brillantes et un potentiel énorme, mais ont besoin d’aide pour optimiser leurs modèles d’affaires, sécuriser des tours de financement initiaux, construire des opérations et une gouvernance solides, et combler d’autres lacunes de capacités sur le chemin de devenir une entreprise établie et scalable.
C’est là que le partenariat avec des organisations expertes opérant sur le terrain à travers l’Afrique peut être inestimable. Les accélérateurs, les incubateurs, les réseaux d’anges investisseurs et d’autres acteurs profondément enracinés dans les écosystèmes locaux de l’entrepreneuriat peuvent aider à identifier les pépites, à fournir un mentorat et un soutien en matière de renforcement des capacités, et à accompagner les startups vers des étapes clés qui les rendent des propositions d’investissement convaincantes.
L’impératif d’impact
4. Pour les investisseurs de la diaspora, financer les startups et les petites entreprises africaines devrait être plus qu’une simple question de rendement financier. Ces entreprises catalysent une croissance économique inclusive, créent des emplois de qualité et permettent aux personnes et aux communautés de prospérer. Lorsque vous investissez, vous devenez un acteur clé de cet impact transformateur. Laissez l’impact social être une partie essentielle de votre thèse d’investissement et de vos critères de décision.
5. Raconter des success stories peut inspirer une marée montante d’investissement de la diaspora. En identifiant et en finançant des startups africaines prometteuses qui créent de la valeur et impulsent un changement positif, partagez ces exemples largement. Plus il y aura d’histoires de succès et de modèles à succès visibles dans cet écosystème, plus il sensibilisera et catalysera d’autres membres de la diaspora à s’impliquer en tant qu’investisseurs et partisans.
Catalyser l’avenir entrepreneurial du continent
Le moment est venu pour la diaspora de jouer un rôle catalyseur dans l’investissement dans le futur entrepreneurial de l’Afrique. Avec des projections selon lesquelles l’Afrique aura la plus grande population en âge de travailler au monde dans quelques décennies seulement, permettre et libérer l’ingéniosité des jeunes entrepreneurs du continent aujourd’hui peut tracer un cours prospère pour les générations à venir.
Suivez les idées ci-dessus pour vous engager de manière stratégique dans l’écosystème d’investissement des startups en Afrique. Adoptez la bonne mentalité et les bons partenariats pour aller au-delà des perceptions obsolètes. Utilisez des plateformes de confiance pour accéder aux opportunités dans la diversité des industries et marchés du continent. Et ancrez votre approche d’investissement dans la force motrice de la création d’un impact social positif à travers l’autonomisation économique.
Si vous n’avez pas pu assister au webinaire ou si vous souhaitez le revoir, vous pouvez visionner l’enregistrement sur notre chaîne YouTube. Et pour en savoir plus sur la façon dont Daba permet d’investir dans les opportunités en Afrique pour les investisseurs individuels et institutionnels, visitez notre page web ou téléchargez notre application mobile.
L’écosystème commercial de l’Afrique recèle un immense potentiel mais continue de faire face à des lacunes en capital. Combler ce fossé grâce à l’investissement de la diaspora peut accélérer la croissance tout en offrant des opportunités d’impact social convaincantes.
L’écosystème des start-ups et des petites entreprises (PME) africaines offre un potentiel de croissance immense mais rencontre encore des défis pour accéder au capital patient nécessaire pour prospérer.
Avec une population jeune et technophile, une classe moyenne en pleine croissance et une multitude de défis sociaux et environnementaux à résoudre – les opportunités d’impact et de rendements sont nombreuses. Cependant, des lacunes critiques en matière de financement persistent.
Combler le fossé en capital de la diaspora
Avec plus de 100 milliards de dollars de transferts de fonds envoyés annuellement depuis la diaspora africaine répartie dans le monde entier vers le continent, il existe un immense potentiel pour canaliser ces fonds vers des entreprises en phase de démarrage prometteuses.
Cependant, des problèmes tels que le manque de sensibilisation, la confiance, les perceptions négatives et l’accès à des accords de qualité ont entravé cela.
Le financement de capital-risque en Afrique reste fortement orienté vers les stades ultérieurs, tandis que les start-ups en phase de démarrage luttent pour obtenir des financements pré-seed et seed pour peaufiner leurs produits et gagner une première traction.
Comme l’ont discuté les panelistes experts Jennifer Frimpong de Ma Adjaho & Co et le PDG d’ARED Henri Nyakarundi lors de la première partie de notre série de webinaires axée sur l’investissement de la diaspora, le biais de familiarité culturelle joue également un rôle.
Les investisseurs de la diaspora ont souvent tendance à privilégier les opportunités dans leurs pays d’origine en raison de liens personnels et de familiarité. Mais cela limite le champ des investissements potentiels.
Établir la confiance et la sensibilisation pour des plateformes telles que Daba qui mènent une diligence raisonnable rigoureuse et offrent un accès ouvert à des accords soigneusement examinés et transparents à travers l’Afrique est essentiel pour surmonter ce biais.
Autonomiser les start-ups et les investisseurs
Frimpong a expliqué que les start-ups ont besoin de plus de soutien pour “professionnaliser” et devenir “prêtes à l’investissement” afin d’attirer le capital de la diaspora.
De l’affinage de leurs propositions de valeur, à la modélisation financière et à la création de pitchs convaincants – les start-ups ont besoin d’un accompagnement pratique.
Avec l’accélération appropriée des ventures à fort potentiel, des secteurs de l’agroalimentaire à la technologie financière, en passant par le commerce électronique, et au-delà peuvent offrir aux diasporans des opportunités convaincantes avec un impact social.
Saisir l’élan
La scène des start-ups en Afrique est sur le point de prospérer au cours de la prochaine décennie, en particulier avec la puissance de la diaspora et des plateformes comme Daba élargissant l’accès au financement en phase de démarrage.
Mais réaliser ce potentiel immense nécessite une action collective à travers les sphères publique, privée et non gouvernementale pour favoriser le talent entrepreneurial et injecter du capital de croissance dans l’écosystème.
Nous encourageons tous ceux qui souhaitent soutenir les entreprises africaines – que ce soit par l’investissement, la réforme des politiques, l’incubation, ou d’autres moyens – à en savior plus, à s’impliquer et à entrer en contact.
Le moment est venu de canaliser le capital de la diaspora vers les ventures les plus brillantes du continent. Avec des efforts coordonnés, l’écosystème des start-ups en Afrique peut transformer les économies et élever des millions de personnes.
Si vous n’avez pas pu assister au webinaire ou si vous souhaitez le revoir, vous pouvez visionner l’enregistrement sur notre chaîne YouTube. Et pour en savoir plus sur la façon dont Daba permet d’investir dans les opportunités en Afrique pour les investisseurs individuels et institutionnels, visitez notre page web ou téléchargez notre application mobile.
Les investisseurs institutionnels et individuels ont pu soutenir la mission de BuuPass consistant à numériser le secteur de la mobilité en Afrique via la plateforme d’investissement unifiée de Daba.
BuuPass, une plateforme de billetterie de voyage numérique basée au Kenya, a récemment reçu un investissement de Tim Draper, un capital-risqueur renommé.
BuuPass a obtenu l’investissement de Draper en participant à l’émission de télé-réalité Meet the Drapers. Le montant levé n’a pas été divulgué. Jusqu’à présent, la startup avait levé 2,5 millions de dollars depuis sa fondation.
Qui est Tim Draper ?
Tim Draper est le fondateur de Draper Associates, DFJ et du Draper Venture Network. Il a financé une remarquable série de sociétés à succès, dont Coinbase, Baidu, Tesla, Skype, SpaceX, Twitch et Hotmail, entre autres.
Un défenseur éminent de Bitcoin et de la décentralisation, Draper a été une figure clé dans l’espace des crypto-monnaies, avec des investissements dans plus de 50 sociétés de crypto.
Ses réalisations incluent le titre d’”Entrepreneur du Monde” décerné par le World Entrepreneurship Forum et sa présence parmi les 100 personnes les plus puissantes de la finance selon Worth Magazine.
Ce que cela signifie pour les investisseurs de BuuPass
L’investissement marque la troisième incursion de Draper en Afrique, témoignant de sa confiance dans le potentiel de l’entreprise à révolutionner le paysage des transports en Afrique.
Le financement marque également un bond majeur vers la vision de BuuPass de devenir une licorne dans le secteur des transports. Il alimentera sa mission de numériser le marché du transport longue distance de 100 milliards de dollars en Afrique.
De plus, l’expertise et le réseau mondial de Draper offriront à BuuPass des opportunités de croissance et d’innovation inégalées.
Numérisation du secteur de la mobilité en Afrique
BuuPass est une place de marché B2B2C à pile complète qui connecte les compagnies de transport avec des plateformes de billetterie en ligne.
Traction impressionnante : BuuPass a déjà réalisé d’importants progrès, vendant plus de 16 millions de billets de voyage et générant plus de 100 millions de dollars de GMV, avec une présence en Afrique de l’Est et australe et des itinéraires dans plus de 15 pays.
La start-up prévoit d’utiliser l’investissement pour redoubler d’efforts dans sa mission de numériser le marché africain du transport longue distance en connectant les compagnies de transport avec des plateformes de billetterie en ligne.
“Promesse incroyable”
“BuuPass a montré une promesse incroyable dans la transformation de l’industrie des transports en Afrique”, a déclaré Tim Draper à propos de la start-up. “Je suis ravi de faire partie de ce voyage et j’ai hâte de voir BuuPass stimuler l’innovation et la connectivité à travers le continent.”
Sonia Kabra, co-fondatrice de BuuPass, a exprimé son enthousiasme quant à l’investissement : “Obtenir un investissement de Tim Draper est une étape monumentale pour BuuPass. Sa croyance en notre vision et notre potentiel est un énorme vote de confiance.
“Ce partenariat nous rapproche de notre objectif de mouvement fluide des personnes et des biens à travers l’Afrique, et c’est une étape significative vers la réalisation de notre rêve de devenir une licorne dans le secteur des transports.”
Daba Finance est fier d’avoir permis la participation des investisseurs au parcours de BuuPass et nous sommes impatients de suivre sa croissance et son succès. Pour en savoir plus sur la manière dont Daba permet d’investir dans les opportunités africaines pour les investisseurs individuels et institutionnels, visitez notre site web ou téléchargez notre application mobile.
Ces dernières présentent de forts effets multiplicateurs en vue de réduire la pauvreté et de favoriser la prospérité partagée sur le continent.
L’alimentation et les boissons, l’infrastructure, les soins de santé, l’éducation et les énergies renouvelables sont apparus comme les cinq principaux secteurs pour les opportunités d’investissement dans le rapport.
Ensemble, ils représentent plus de 60 % des opportunités identifiées couvrant l’Afrique de l’Est, de l’Ouest et australe.
L’équipe d’intelligence de Daba explore en outre cinq autres secteurs. Lisez la suite pour découvrir où se trouvent les opportunités d’investissement les plus attractives en Afrique.
Où investir en Afrique : Voici les 10 secteurs les plus prometteurs
1. Alimentation et Agriculture
Le secteur de l’alimentation et de l’agriculture joue un rôle économique intégral à travers l’Afrique.
Malgré la croissance de sa classe moyenne et une réduction de sa dépendance à l’agriculture, l’Afrique continue de connaître une population croissante et une demande croissante en matière d’alimentation.
Par conséquent, le continent offre des perspectives d’investissement substantielles dans les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire. Ces opportunités englobent des investissements dans divers aspects de la chaîne de valeur agricole, notamment les terres agricoles, les intrants agricoles, la transformation et les innovations agritech.
L’Afrique subsaharienne, en particulier, est confrontée à des besoins agricoles importants qui vont au-delà des éléments fondamentaux tels que les engrais, les semences et l’irrigation pour inclure des améliorations essentielles de l’infrastructure.
Les entreprises impliquées dans l’amélioration des routes, des installations de stockage, des ports et des réseaux électriques dans la région peuvent également prospérer en soutenant et facilitant la croissance des opérations agricoles florissantes de l’Afrique subsaharienne.
Ces investissements offrent non seulement des rendements financiers potentiels, mais contribuent également à relever les défis de sécurité alimentaire auxquels la région est confrontée.
L’Afrique continue de connaître une population croissante et une demande croissante en alimentation.
2. Infrastructure
Les besoins en infrastructure restent critiques pour faire avancer les résultats socio-économiques. Les exigences continuent de croître au milieu de l’urbanisation rapide et de l’industrialisation.
Bien que la pénurie d’infrastructures en Afrique soit indéniable, elle offre de nombreuses opportunités d’investissement, notamment pour des secteurs tels que la construction, les télécommunications, l’énergie et les transports, entre autres.
La BAD estime que le continent aura besoin jusqu’à 170 milliards de dollars par an d’ici 2025 pour rénover ses infrastructures, les deux tiers de ce montant étant nécessaires pour des infrastructures entièrement nouvelles et le tiers restant pour la maintenance.
Par conséquent, les routes, le logement, l’électricité, la gestion des déchets et d’autres projets à long terme signalent un fort potentiel de partenariat public-privé.
3. Soins de Santé
Les secteurs des soins de santé et des médicaments sur ordonnance sont estimés à une valeur combinée de 3 milliards de dollars, les médicaments innovants/brevetés contribuant approximativement à hauteur de 1,7 milliard de dollars à cette valeur. Les médicaments en vente libre détiennent actuellement une valeur de 378 millions de dollars.
Étant donné la montée en puissance des sociétés pharmaceutiques produisant des médicaments génériques, il est fort probable qu’il y ait une augmentation des investissements dans le secteur de la santé du pays.
Cela est particulièrement significatif compte tenu du fait que 85 % de la population africaine dépend des services de santé publics.
Il est raisonnable de prévoir que le public accueillerait favorablement le Plan national d’assurance maladie, cherchant ainsi à accéder à des médicaments et à des installations de traitement plus abordables.
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4. Éducation
Investir dans l’éducation en Afrique représente une opportunité de soutenir la croissance du continent tout en générant des rendements.
La population africaine devrait doubler d’ici 2050, ce qui entraînera une demande croissante en matière d’éducation de qualité.
Des opportunités d’investissement existent dans la construction et la gestion d’écoles, la technologie éducative, les bourses d’études et les programmes de formation.
Les écoles privées et l’enseignement supérieur sont particulièrement prometteurs compte tenu de la demande croissante en éducation de qualité et abordable.
La technologie éducative offre également une opportunité à grande échelle. Avec l’augmentation de l’accès aux mobiles et à Internet, les plateformes en ligne et les applications peuvent fournir une éducation abordable dans des régions éloignées et mal desservies.
Investir dans l’éducation en Afrique offre une opportunité de soutenir la croissance du continent tout en générant des rendements.
Fournir des bourses d’études et des formations aux étudiants et aux professionnels africains est un autre investissement important. Les partenariats avec des organisations déjà actives dans cet espace offrent des canaux d’investissement idéaux.
L’expansion de la population jeune de l’Afrique et la demande d’éducation de qualité créent une opportunité de stimuler le développement grâce à l’investissement et de générer des rendements financiers.
5. Énergies Renouvelables
L’Afrique dispose de ressources énergétiques renouvelables abondantes qui présentent d’importantes opportunités d’investissement alors que le continent passe aux sources d’énergie durables.
L’énergie solaire et éolienne devrait connaître une croissance massive, avec une capacité installée augmentant de 100 fois pour le solaire et de 35 fois pour l’éolien d’ici 2050. Cela nécessitera des milliards d’investissements au cours des prochaines décennies.
Le Maroc, l’Afrique du Sud et les pays d’Afrique du Nord seront des marchés clés pour les projets solaires et éoliens en raison de l’irradiation solaire forte et des ressources éoliennes, selon le Forum économique mondial.
L’énergie hydroélectrique offre également un potentiel substantiel, avec une capacité attendue quadruplée d’ici 2050. Les pays d’Afrique subsaharienne disposent des plus grandes ressources hydroélectriques restantes à exploiter. La production d’hydrogène vert est un autre domaine prêt pour une croissance et des exportations majeures, avec des projets déjà en cours au Maroc, en Namibie et en Afrique du Sud.
Cumulativement, près de 3 000 milliards de dollars de dépenses en capital sur les énergies renouvelables et les infrastructures de soutien seront nécessaires en Afrique d’ici 2050. Investir tôt permet aux institutions financières de conduire la transition et de capitaliser sur les opportunités à long terme.
Le paysage des technologies propres en Afrique connaît un essor sans précédent, alimenté par une combinaison de ressources renouvelables abondantes.
6. Marchés des matières premières
De nombreux pays africains dépendent largement du commerce des matières premières. Certains d’entre eux naviguent à travers les cycles des matières premières, comme le montrent les principaux pays exportateurs de pétrole comme l’Angola et le Nigeria, ainsi que les pays producteurs de cuivre tels que la République démocratique du Congo et la Zambie.
Selon les estimations de l’ONU, l’Afrique détient plus de 30 % des réserves minérales mondiales, y compris plus de la moitié des réserves mondiales d’or, de chrome et de platine, une proportion importante des réserves mondiales de diamants, et 5 % des réserves naturelles de minerai de lithium.
Le continent abrite également les principaux exportateurs mondiaux de produits agricoles tels que le cacao (Côte d’Ivoire et Ghana), le café (Éthiopie et Ouganda), le thé (Kenya) et le coton (Bénin, Burkina Faso, Égypte, Soudan et Mali).
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7. Commerce de détail et commerce électronique
L’expansion de la classe moyenne africaine, qui est passée de 313 millions de personnes au cours des 30 dernières années, présente des perspectives d’investissement attrayantes dans des secteurs axés sur le commerce de détail.
Pour donner un contexte, les entreprises de télécommunications en Afrique ont ajouté plus de 400 millions d’abonnés, soit plus que l’ensemble de la population américaine, depuis 2000.
La croissance de la classe moyenne africaine peut être attribuée principalement à une expansion économique robuste, à un passage vers l’emploi salarié et à un éloignement de l’agriculture. Le rythme général peut avoir été plus lent que prévu, mais la composition démographique du continent reste attrayante.
Pour répondre à ce marché, une industrie du commerce électronique en pleine croissance émerge rapidement, aidée par un nombre croissant d’utilisateurs d’Internet. D’ici 2025, l’Afrique devrait avoir plus d’un demi-milliard d’acheteurs en ligne, avec une pénétration de 40 % et un taux de croissance annuel composé de 17 %.
8. Immobilier et logement
L’urbanisation et la croissance démographique dans de nombreux pays africains ont alimenté une demande croissante en matière de logements résidentiels et commerciaux.
Ce paysage dynamique offre des opportunités attrayantes dans les projets de développement immobilier, permettant aux investisseurs de capitaliser sur l’élan de croissance du continent pour potentiellement tirer profit de la valorisation des biens immobiliers.
De nombreuses techniques d’investissement éprouvées qui ont réussi dans le monde occidental, telles que les locations à long terme, les fiducies de placement immobilier (FPI), les locations de vacances et les options de bail, peuvent générer des rendements comparables sur le marché africain.
Les investisseurs qui préfèrent une approche prudente peuvent envisager des options telles que les FPI et autres fonds immobiliers. Ces véhicules d’investissement peuvent offrir une exposition au marché immobilier tout en diversifiant les risques et en offrant potentiellement des rendements plus stables.
9. Services Financiers et Fintech
Le paysage des services financiers en Afrique a évolué au cours des deux dernières décennies et jouera un rôle crucial dans la sécurisation de l’avenir du continent.
Sans financement durable et crédit commercial, le développement de projets dans des domaines clés tels que l’infrastructure, les soins de santé et les projets énergétiques reste conceptuel plutôt que réalité.
Les réformes réglementaires, l’émergence d’une classe moyenne urbaine et les avancées technologiques permettent aux institutions financières d’accéder à des mécanismes de financement pour atténuer les risques et maximiser les rendements.
Les revenus dans le secteur des services financiers dans son ensemble pourraient croître à environ 10 % par an pour atteindre 230 milliards de dollars d’ici 2025.
L’émergence de solutions basées sur la technologie financière détient particulièrement une grande promesse pour ce secteur. Le potentiel fintech de l’Afrique était d’environ 150 milliards de dollars en 2020, selon un rapport de McKinsey, alimenté par l’assurance, le commerce de détail et les prêts aux PME.
À l’avenir, le marché devrait croître de 10 % par an pour atteindre environ 230 milliards de dollars d’ici 2025, avec le secteur de la blockchain, des paiements et des portefeuilles prévu pour croître le plus rapidement.
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10. Technologie et Innovation
Le secteur technologique de l’Afrique connaît une croissance rapide, avec de nombreuses entreprises innovantes émergentes pour relever les défis du monde réel et répondre aux demandes des consommateurs.
Ces startups africaines bénéficient de plusieurs avantages, notamment le fait d’être les premiers à se lancer sur le marché et de s’aligner sur des tendances démographiques favorables.
Malgré le ralentissement économique mondial de 2022, les startups africaines ont réussi à obtenir des niveaux record de financement de la part de capitaux-risqueurs aux États-Unis, en Europe et dans d’autres régions.
Notamment, le continent a même donné naissance à sept licornes – startups valorisées à plus de
1 milliard de dollars – soulignant ainsi davantage le potentiel naissant et le succès de l’industrie technologique en Afrique.
Impacts et Rendements
La plupart des opportunités sont projetées pour générer un nouvel impact positif pour les groupes sous-desservis. Cela indique qu’elles peuvent contribuer de manière significative à surmonter les défis urgents de développement durable.
Elles offrent également des rendements attractifs. Environ la moitié prévoit des taux de rendement internes dépassant 20 %, accompagnés de marges bénéficiaires brutes élevées.
Cependant, des horizons d’investissement à long terme sont courants, en particulier dans des secteurs à forte intensité de capital tels que le transport et l’infrastructure, où la patience est essentielle.
Financement et Mise en Œuvre
Bien que certaines opportunités répondent aux conditions de financement à taux de marché, la plupart nécessitent des approches publiques-privées mixtes.
Ces partenariats peuvent aborder les risques liés à la réglementation, à l’accessibilité, aux lacunes en compétences et aux contraintes de l’environnement propice.
Les collaborations à travers des organismes régionaux tels que la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine permettent également aux entreprises d’accéder à des marchés plus vastes, de diversifier les portefeuilles et de partager des expériences. De plus, ils permettent aux pays de se concentrer sur des interventions autour de leurs avantages comparatifs.
La Voie à Suivre: Saisissez les Opportunités d’Investissement en Afrique dès Aujourd’hui
L’Afrique offre de nombreuses perspectives d’investissement pour fournir simultanément un impact positif et des gains financiers à moyen et long terme.
Les investisseurs institutionnels et les partenaires au développement doivent continuer à travailler ensemble pour transformer les opportunités en réalité dans des domaines tels que l’agriculture, l’infrastructure, les soins de santé, l’éducation et les énergies renouvelables.
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L’une des principales questions que se posent souvent les investisseurs souhaitant diversifier leur portefeuille est : “Où investir en Afrique ?” Les actions africaines offrent certaines des opportunités les plus prometteuses pour les investisseurs particuliers et institutionnels.
Dans ce blog, nous explorons certaines des tendances marquantes sur la bourse l’année dernière et pourquoi les investisseurs intéressés par l’Afrique devraient se tourner vers la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM), la bourse régionale desservant huit pays d’Afrique de l’Ouest francophones.
Qu’est-ce que la BRVM ?
La Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) sert de bourse régionale pour les États membres de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA).
Il s’agit notamment du Bénin, du Burkina Faso, de la Côte d’Ivoire, de la Guinée-Bissau, du Mali, du Niger, du Sénégal et du Togo.
Malgré des défis tels que l’inflation et les tensions politiques, la BRVM a fait preuve de résilience en 2023, avec son indice composite affichant une croissance constante.
1. BOA, Sonatel, Orange en tête
L’année dernière, 21 actions ont connu des périodes prospères, enregistrant des gains en capital notables, tandis que 23 actions ont connu un déclin, avec 2 maintenant la stabilité.
Les secteurs de la finance et des services publics ont notamment contribué à l’orientation positive du marché boursier de la BRVM, enregistrant des gains de 14,45 % et 8,64 % respectivement.
Notamment, des actions au sein de ces secteurs, telles que Sonatel et Orange Côte d’Ivoire, ont joué un rôle crucial dans cette performance. BOA CI s’est révélé être le meilleur performer, affichant un gain impressionnant de 86,35 %, alimenté par les opportunités dans le secteur bancaire ivoirien.
L’indice composite de la BRVM, l’indicateur de performance global, a connu une croissance initiale modeste à 203,22 points (+0,46 %). Cependant, il a conclu l’année avec une augmentation notable de 5,38 %, atteignant 214,15 points, marquant ainsi sa troisième année consécutive de croissance.
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2. Augmentation de la distribution de dividendes
Malgré les défis de 2022 et les directives prudentes de la BCEAO concernant la distribution de dividendes des banques, les sociétés cotées à la BRVM ont considérablement augmenté la rémunération des actionnaires en 2023. Les dividendes distribués aux investisseurs ont augmenté de 25,82%, totalisant 647,8 milliards de FCFA.
Des entreprises telles que Sonatel, Orange CI, Société Générale CI, Ecobank CI et Société Ivoirienne de Banque se sont démarquées en distribuant des sommes substantielles à leurs actionnaires.
3. Brandon McCain acquiert des actions dans BICICI
Brandon McCain Capital, dirigé par Ahmed Cissé, a acquis une participation de 19,11% dans BICICI auprès du groupe SUNU bancassurance. Cette transaction, évaluée à 22,12 milliards de FCFA, marque un changement significatif dans la structure de l’actionnariat de BICICI.
4. Vista Group négocie le rachat d’actions d’Oragroup
Le Vista Group a engagé des discussions pour le rachat des actions d’Oragroup détenues par ECP. Cet accord, avec un consortium dirigé par Emerging Capital Partners, vise à faire de Vista le principal actionnaire d’Oragroup, détenant plus de 61% des actions.
Cependant, des divergences de valorisation entre ECP et le groupe de Simon Tiemtoré posent des défis à l’achèvement de l’accord.
5. La BRVM dépasse la barre des 8 000 milliards de FCFA
Un jalon important atteint par la BRVM en 2023 a été son franchissement historique de la barre des 8 000 milliards de FCFA en capitalisation boursière. Cette occasion mémorable a eu lieu le 12 septembre 2023, propulsée par des sommets notables dans les actions de Société Générale CI et Orange CI, au milieu d’augmentations généralisées.
Par la suite, le 20 septembre 2023, la BRVM est devenue le cinquième marché le plus important en Afrique, avec une capitalisation boursière de 12,861 milliards de dollars, dépassant celle de la bourse de Nairobi de 9,77 milliards de dollars.
La cotation d’Orange Côte d’Ivoire à la fin de 2022 a largement contribué à cette réalisation, représentant environ 20% de la capitalisation boursière totale.
Malgré une baisse du volume global des transactions de 45,8% par rapport à 2022, la valeur des transactions a augmenté de 41,2%, atteignant 246 milliards de FCFA en 2023, reflétant une évolution positive du marché.
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6. Acquisition du groupe Crédit d’Afrique par Alios Finance
Le 12 décembre, Tunisie Leasing et Factoring a annoncé son accord avec le groupe Crédit d’Afrique, dirigé par l’entrepreneur à succès Serge BILE, pour l’acquisition de ses filiales.
Cette acquisition comprend des participations majoritaires dans les filiales d’Alios Finance en Côte d’Ivoire, au Cameroun et au Gabon. Alors que la filiale ivoirienne était confrontée à des défis financiers, cette vente pourrait potentiellement découler des performances financières des filiales.
Safca, contrôlée à 52,02% par Alios Finance, a connu une augmentation significative de 47,16% de sa valeur boursière à la BRVM à la fin de l’année.
7. Records historiques pour Ecobank CI, Société Générale CI et SIB
En 2023, certaines actions ont atteint leurs prix les plus élevés depuis leur introduction à la BRVM. Notamment, Ecobank CI, Nestlé CI, Orange CI, Société Générale CI et SIB ont atteint des jalons significatifs dans leur évolution de prix.
Ces développements, tout en reflétant un sentiment de marché positif, peuvent avoir un impact sur les bénéfices, les dividendes et les actifs nets. Les attentes élevées des investisseurs pourraient entraîner une augmentation des ratios cours/bénéfices et une baisse de la rentabilité moyenne, affectant l’attrait des actions en fonction du rendement des dividendes.
8. Meilleurs rendements offerts lors des publications
Avec la publication des états financiers pour 2022 au cours de 2023, plusieurs entreprises se sont distinguées par le niveau de rémunération des actionnaires qu’elles ont offert. BOA BF a mené le classement avec un rendement de dividende notable de 11,09%, suivi par Palmci à 11,05%.
Nestlé CI, BOA CI et SOGB ont complété le top 5 avec des rendements respectifs de 10,79%, 10,40% et 10,30%. Cet indicateur, avec un rendement moyen en dividendes de plus de 10%, a contribué à renforcer la confiance des investisseurs dans le marché boursier.
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9. Les concessions de Sonatel
Malgré sa domination de longue date, Sonatel s’est retrouvé déplacé en tant que géant de la capitalisation boursière à la BRVM, cédant la première place à son homologue ivoirien, Orange CI.
L’introduction en bourse réussie d’Orange Côte d’Ivoire, la plus importante jamais réalisée sur le marché de la BRVM, a suscité l’excitation du marché, propulsant sa valeur boursière de près de 15% en seulement deux séances.
Cependant, la consolidation post-introduction en bourse a permis à Sonatel de récupérer sa position, partageant désormais la domination du marché avec Orange CI, commandant collectivement plus de 42% de la capitalisation boursière globale.
Investir dans des actions africaines, en particulier via des plateformes comme la BRVM, offre aux investisseurs une porte d’entrée vers des opportunités diverses et prometteuses.
En comprenant les tendances du marché, les développements stratégiques et la performance sectorielle, les investisseurs peuvent prendre des décisions éclairées sur où et comment investir dans les marchés boursiers dynamiques de l’Afrique, débloquant ainsi le potentiel de croissance du continent et contribuant au succès des investissements à long terme.
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