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  • 15 Termes Que Chaque Investisseur en Actions Doit Connaître

    15 Termes Que Chaque Investisseur en Actions Doit Connaître

    Le monde de l’investissement en actions a son propre langage. Comprendre ces termes clés est crucial pour prendre des décisions d’investissement éclairées.


    Investir dans des actions peut être un excellent moyen de construire de la richesse, surtout dans les marchés émergents comme ceux desservis par la BRVM (Bourse Régionale des Valeurs Mobilières).

    Cependant, le monde de l’investissement en actions a son propre langage. Comprendre ces termes clés est crucial pour prendre des décisions d’investissement éclairées.

    Dans cet article, nous allons explorer 15 termes essentiels du marché boursier, avec des exemples pratiques de la BRVM pour vous aider à naviguer en toute confiance sur le marché boursier ouest-africain.

    1. Action

    Une action représente une part de propriété dans une entreprise. Lorsque vous achetez des actions de la Société Générale Côte d’Ivoire (SGBC) à la BRVM, vous achetez une petite part de cette grande banque opérant en Afrique de l’Ouest.

    2. Dividende

    Une partie des bénéfices d’une entreprise versée aux actionnaires. Sonatel, une entreprise de télécommunications de premier plan cotée à la BRVM, a une histoire de paiement de dividendes réguliers à ses actionnaires, leur fournissant un flux de revenu stable.

    3. Capitalisation boursière

    La valeur totale des actions en circulation d’une entreprise. Elle se calcule en multipliant le prix de marché d’une action par le nombre d’actions en circulation. Actuellement, Sonatel Sénégal (SNTS) a l’une des plus grandes capitalisations boursières à la BRVM, reflétant sa présence significative dans le secteur des télécommunications ouest-africain.

    4. Marché haussier (Bull Market)

    Une période de hausse des prix des actions et d’optimisme sur le marché. La BRVM a connu un marché haussier en 2015 lorsque l’indice composite de la BRVM a augmenté de plus de 17 %, porté par les fortes performances des secteurs des télécommunications et bancaire.

    5. Marché baissier (Bear Market)

    Une période de baisse des prix des actions et de pessimisme sur le marché. La BRVM a connu un marché baissier en 2016 lorsque l’indice composite de la BRVM a chuté d’environ 3,87 %, affecté par les incertitudes économiques mondiales.

    Lire aussi : Qu’est-ce qu’un indice ? Un guide pour les débutants en bourse

    6. Volatilité

    Le degré de variation du prix de négociation au fil du temps. Les actions de Tractafric Motors CI (PRSC), une entreprise automobile cotée à la BRVM, ont montré une plus grande volatilité par rapport aux actions plus stables comme Sonatel, offrant à la fois des risques et des opportunités pour les investisseurs.

    7. Ratio Cours/Bénéfice (P/E Ratio)

    Un ratio d’évaluation comparant le prix d’une action aux bénéfices par action de l’entreprise. Le ratio P/E est l’un des indicateurs d’évaluation les plus populaires des actions. Il donne une indication de savoir si une action à son prix de marché actuel est chère ou bon marché.

    Typiquement, le ratio P/E moyen est autour de 20 à 25. Tout ce qui est en dessous serait considéré comme un bon ratio cours/bénéfice, tandis que tout ce qui est au-dessus serait un pire ratio P/E.

    Par exemple, une action avec un ratio P/E d’environ 8 suggère qu’elle pourrait être sous-évaluée par rapport à certaines actions bancaires mondiales avec des ratios P/E plus élevés.

    8. Liquidité

    La facilité avec laquelle un actif peut être acheté ou vendu sans affecter son prix. Sonatel et Orange CI (ORAC) sont parmi les actions les plus liquides à la BRVM, ce qui les rend plus faciles à négocier par rapport à des entreprises plus petites et moins fréquemment négociées.

    9. Diversification

    Répartir les investissements sur divers actifs pour réduire le risque. Un investisseur à la BRVM pourrait diversifier en détenant des actions dans différents secteurs, tels que Sonatel SNTS (télécommunications), SGBC (banques) et Solibra (boissons).

    Lire aussi : Qu’est-ce que la diversification des investissements ? – Importance, avantages et stratégies

    10. Offre Publique Initiale (IPO)

    Le processus d’offre d’actions d’une entreprise privée au public pour la première fois. En 2022, la BRVM a accueilli l’IPO d’Orange Côte d’Ivoire (la plus grande jamais réalisée sur la bourse), marquant un ajout significatif à la représentation du secteur des télécommunications régional sur la bourse.

    11. Ordre au marché

    Un ordre d’acheter ou de vendre une action immédiatement au meilleur prix disponible. Si vous passez un ordre au marché pour des actions Sonatel, il sera exécuté au prix de marché actuel, ce qui pourrait être avantageux dans un marché en mouvement rapide.

    12. Ordre à cours limité

    Un ordre d’acheter ou de vendre une action à un prix spécifique ou mieux. Vous pourriez placer un ordre à cours limité pour acheter des actions SGCI à 11 000 XOF ou moins, vous assurant de ne pas payer plus que le prix désiré.

    13. Rendement du dividende

    Le dividende annuel par action divisé par le prix actuel de l’action, exprimé en pourcentage. Si le prix de l’action de Sonatel est de 13 000 XOF et qu’elle verse un dividende annuel de 1 300 XOF par action, son rendement du dividende serait de 10 %.

    14. Actions de premier ordre (Blue Chip Stocks)

    Actions de grandes entreprises bien établies avec une histoire de bénéfices stables. Sonatel, Orange et SGBC sont souvent considérées comme des actions de premier ordre à la BRVM en raison de leur taille, de leur stabilité et de leur performance constante.

    Lire aussi : Les plus grandes entreprises de la BRVM : à l’intérieur des leaders du marché boursier ouest-africain

    15. Indice boursier

    Une mesure de la valeur d’une section du marché boursier. L’indice composite de la BRVM et l’indice BRVM 30 sont des indicateurs clés de la performance globale du marché dans la région UEMOA.


    Comprendre ces 15 termes clés est crucial pour quiconque souhaite investir en actions. Alors que vous commencez votre parcours d’investissement, rappelez-vous que la connaissance est le pouvoir. Ces termes vous aideront à analyser les investissements potentiels, à comprendre les mouvements du marché et à prendre des décisions éclairées.

    Chez Daba, nous nous engageons à donner aux investisseurs les connaissances et les outils dont ils ont besoin pour réussir sur les marchés africains et émergents. Notre plateforme offre un accès aux actions de la BRVM et à d’autres opportunités d’investissement à travers l’Afrique, soutenue par des informations fiables et des insights d’experts.

    Que vous soyez intéressé par des actions de premier ordre comme Sonatel et SGBC, ou que vous cherchiez à diversifier votre portefeuille dans différents secteurs et marchés, Daba Pro peut vous aider à naviguer dans le monde passionnant des investissements africains en toute confiance.

    Commencez votre parcours d’investissement avec nous dès aujourd’hui et mettez en pratique vos nouvelles connaissances pour construire un portefeuille solide et diversifié. N’oubliez pas, bien que comprendre ces termes soit important, il est toujours sage de mener des recherches approfondies et d’envisager de consulter des professionnels avant de prendre des décisions d’investissement.

    Bon investissement !

  • 15 Terms Every Stock Investor Should Know

    15 Terms Every Stock Investor Should Know

    The world of stock investing comes with its own language. Understanding these key terms is crucial for making informed investment decisions.


    Investing in stocks can be an excellent way to build wealth, especially in emerging markets like those served by the BRVM (Bourse Régionale des Valeurs Mobilières).

    However, the world of stock investing comes with its own language. Understanding these key terms is crucial for making informed investment decisions.

    In this article, we’ll explore 15 essential stock market terms, with practical examples from the BRVM to help you navigate the West African stock market with confidence.

    1. Stock

    A stock represents partial ownership in a company. When you buy shares of Société Générale Côte d’Ivoire (SGBC) on the BRVM, you’re purchasing a small piece of this major bank operating in West Africa.

    2. Dividend

    A portion of a company’s profits paid out to shareholders. Sonatel, a leading telecommunications company listed on the BRVM, has a history of paying regular dividends to its shareholders, providing them with a steady income stream.

    3. Market Capitalization

    The total value of a company’s outstanding shares. It is calculated by multiplying the market price of a single share by the outstanding shares. Currently, Sonatel Senegal (SNTS) has one of the largest market capitalizations on the BRVM, reflecting its significant presence in the West African telecom sector.

    4. Bull Market

    A period of rising stock prices and optimism in the market. The BRVM experienced a bull market in 2015 when the BRVM Composite Index rose by over 17%, driven by strong performances in sectors like telecommunications and banking.

    5. Bear Market

    A period of falling stock prices and pessimism in the market. The BRVM faced a bear market in 2016 when the BRVM Composite Index fell by about 3.87%, affected by global economic uncertainties.

    Also Read: What is an Index? A Beginner’s Guide to Stock Markets

    6. Volatility

    The degree of variation in trading price over time. Shares of Tractafric Motors CI (PRSC), an automotive company listed on the BRVM, have shown higher volatility compared to more stable stocks like Sonatel, presenting both risks and opportunities for investors.

    7. Price-to-Earnings (P/E) Ratio

    A valuation ratio comparing a company’s stock price to its earnings per share. The PE ratio is one of the most popular valuation metrics of stocks. It provides an indication of whether a stock at its current market price is expensive or cheap.

    Typically, the average P/E ratio is around 20 to 25. Anything below that would be considered a good price-to-earnings ratio, whereas anything above that would be a worse P/E ratio.

    For instance, a stock with a P/E ratio of around 8 suggests it may be undervalued compared to some global banking stocks with higher P/E ratios.

    8. Liquidity

    The ease with which an asset can be bought or sold without affecting its price. Sonatel and Orange CI (ORAC) are among the most liquid stocks on the BRVM, making them easier to trade compared to smaller, less frequently traded companies.

    9. Diversification

    Spreading investments across various assets to reduce risk. An investor on the BRVM might diversify by holding stocks in different sectors, such as Sonatel SNTS (telecom), SGBC (banking), and Solibra (beverages).

    Also Read: What is Investment Diversification? – Importance, Benefits, and Strategies

    10. Initial Public Offering (IPO)

    The process of offering shares of a private company to the public for the first time. In 2022, the BRVM welcomed Orange Cote d’Ivoire’s IPO (the largest ever on the bourse), marking a significant addition to the regional telecom sector representation on the exchange.

    11. Market Order

    An order to buy or sell a stock immediately at the best available price. If you place a market order for Sonatel shares, it will be executed at the current market price, which could be beneficial in a fast-moving market.

    12. Limit Order

    An order to buy or sell a stock at a specific price or better. You might set a limit order to buy SGCI shares at 11,000 XOF or lower, ensuring you don’t pay more than your desired price.

    13. Dividend Yield

    The annual dividend per share divided by the stock’s current price, expressed as a percentage. If Sonatel’s stock price is 13,000 XOF and it pays an annual dividend of 1,300 XOF per share, its dividend yield would be 10%.

    14. Blue Chip Stocks

    Shares of large, well-established companies with a history of stable earnings. Sonatel, Orange, and SGBC are often considered blue-chip stocks on the BRVM due to their size, stability, and consistent performance.

    Also Read: The Largest Companies on the BRVM: Inside West Africa’s Stock Market Leaders

    15. Market Index

    A measurement of the value of a section of the stock market. The BRVM Composite Index and the BRVM 30 Index are key indicators of overall market performance in the WAEMU/UEMOA region.


    Understanding these 15 key terms is crucial for anyone looking to invest in stocks. As you begin your investment journey, remember that knowledge is power. These terms will help you analyze potential investments, understand market movements, and make informed decisions.

    At Daba, we’re committed to empowering investors with the knowledge and tools they need to succeed in African and emerging markets. Our platform offers access to BRVM stocks and other investment opportunities across Africa, backed by reliable information and expert insights.

    Whether you’re interested in blue chip stocks like Sonatel and SGBC, or you’re looking to diversify your portfolio across different sectors and markets, Daba Pro can help you navigate the exciting world of African investments with confidence.

    Start your investment journey with us today and put your new knowledge to work in building a strong, diversified portfolio. Remember, while understanding these terms is important, it’s always wise to conduct thorough research and consider seeking professional advice before making investment decisions.

    Happy investing!

  • Les marchés boursiers africains sont en plein essor. Mais les problèmes de devises réduisent leur attrait

    Les marchés boursiers africains sont en plein essor. Mais les problèmes de devises réduisent leur attrait

    Les devises africaines faibles érodent les rendements des actions pour les investisseurs en dollars, diminuant l’attrait du continent en tant que destination de marché de frontière. La BRVM offre une alternative convaincante.


    Presque partout en Afrique, les marchés boursiers sont en plein essor, certains atteignant des niveaux sans précédent. Les actions égyptiennes, mesurées par l’indice EGX 30, ont encore grimpé de 0,45 % la semaine se terminant le 10 juillet. L’indice de référence a bondi de plus de 13 % depuis le début de l’année en termes de monnaie locale – un rallye impressionnant à tous égards. Mais pour les investisseurs internationaux évaluant leurs rendements en dollars américains, le tableau est bien moins réjouissant.

    La forte baisse de la livre égyptienne par rapport au dollar a transformé ces gains à deux chiffres en une perte douloureuse de -26 %. Cela reflète le paradoxe auquel sont confrontés de nombreux marchés boursiers africains en 2024. Alors que les indices boursiers locaux affichent des gains enviables, les devises faibles sur des marchés comme l’Égypte, le Nigeria, le Zimbabwe et d’autres érodent les rendements pour les investisseurs internationaux et ceux mesurant la performance en dollars américains ou en euros, diminuant ainsi l’attrait du continent en tant que destination de marché de frontière.

    Le mois dernier, l’un des plus grands gestionnaires d’actifs du monde, BlackRock, a annoncé la liquidation de son ETF iShares de 400 millions de dollars qui investissait dans des pays comme le Nigeria et le Kenya, citant des conditions économiques difficiles et des problèmes de devises. La liquidation met en évidence des défis systémiques plus larges dans ces marchés : la volatilité des devises a rendu de plus en plus difficile pour les investisseurs étrangers de maintenir des rendements stables, aux côtés des défis de liquidité du marché et des restrictions sur le rapatriement des bénéfices.

    Ce développement pourrait inciter à une réévaluation des profils de risque-rendement des actions africaines parmi les investisseurs mondiaux, ce qui pourrait potentiellement entraîner une réduction des flux de capitaux étrangers vers ces marchés à court terme.

    Les réformes coûteuses de l’Égypte

    L’histoire de l’Égypte est particulièrement frappante. La divergence spectaculaire entre les rendements des actions en termes de monnaie locale et étrangère découle de la récente crise monétaire de l’Égypte.

    En mars 2024, le pays a mis en œuvre des réformes économiques, y compris une forte dévaluation de la livre égyptienne. La banque centrale a augmenté les taux d’intérêt de 600 points de base et a permis à la valeur de la livre de plonger par rapport au dollar américain.

    Ces mesures faisaient partie d’un plan de sauvetage de 8 milliards de dollars avec le Fonds monétaire international (FMI), élargi à partir d’un précédent accord de 3 milliards de dollars. Les réformes visent à résoudre la pénurie chronique de devises étrangères du pays nord-africain et l’inflation galopante, qui a vu les prix du pain non subventionné presque doubler en un an seulement.

    Bien que la dévaluation puisse aider à rendre les exportations égyptiennes plus compétitives et améliorer le déficit commercial du pays, elle a considérablement diminué le pouvoir d’achat des Égyptiens, dont près de 30 % vivent déjà dans la pauvreté. Pour les investisseurs internationaux, la baisse de la devise a plus que compensé les gains du marché boursier.

    Les problèmes du naira nigérian éclipsent le rallye du marché

    Le Nigeria présente un tableau similaire. L’indice NGX All Share a grimpé de 33,3 % en termes de naira depuis le début de 2024. Pourtant, lorsqu’ils sont mesurés en dollars américains, les investisseurs enregistrent une perte de -24,46 %.

    Le coupable ? La piètre performance du naira nigérian. Bloomberg a rapporté que le naira a terminé le premier semestre de 2024 en tant que monnaie la moins performante au monde, s’affaiblissant de 40 % depuis le début de l’année. Cette série de pertes est la plus longue depuis juillet 2017 pour l’une des plus grandes économies d’Afrique.

    Le Nigeria a lutté pendant des années avec une pénurie aiguë de devises étrangères et une instabilité, principalement en raison d’une production de pétrole brut plus faible et d’un manque de diversification économique. Depuis juin 2023, lorsque le gouvernement du président Bola Tinubu a introduit des changements de politique pour attirer les flux de capitaux et relancer l’économie, la monnaie locale a perdu environ 70 % de sa valeur par rapport au dollar.

    Le gouverneur de la banque centrale, Olayemi Cardoso, s’est montré optimiste quant à la possibilité de stabiliser la volatilité de la devise. Depuis son entrée en fonction en septembre, il a augmenté les taux d’intérêt de 750 points de base pour atteindre 26,25 %, a éliminé un arriéré de devises étrangères et a négocié des entrées de dollars multilatéraux pour aider à stabiliser la monnaie.

    Cependant, la performance du naira au premier semestre de 2024 suggère que des défis importants subsistent.

    La volatilité extrême des devises au Zimbabwe

    La situation au Zimbabwe est peut-être la plus extrême. L’indice All Share de la Bourse du Zimbabwe (ZSE) a chuté de 99,92 % en termes de monnaie locale depuis le début de l’année. Lorsqu’il est converti en dollars américains, cela se traduit par une perte de 62,95 %.

    Cette baisse survient alors que le Zimbabwe a récemment annoncé la conversion de ses soldes en dollars locaux en une nouvelle monnaie appelée Zimbabwe Gold, ou ZiG. Ce geste représente une nouvelle tentative de stabiliser la situation monétaire volatile du pays, qui a connu de multiples redénominations et périodes d’hyperinflation au cours des deux dernières décennies.

    La nouvelle monnaie ZiG est supposément adossée à des réserves d’or, le gouverneur de la banque centrale affirmant avoir 1,1 tonne d’or dans ses coffres et des réserves supplémentaires à l’étranger. Cependant, les économistes et les citoyens restent sceptiques, compte tenu de l’histoire du pays en matière de réformes monétaires ratées.

    Malgré l’introduction du ZiG, environ 85 % de toutes les transactions au Zimbabwe sont encore réalisées en dollars américains, soulignant le manque de confiance persistant dans la monnaie locale. Cette dollarisation persistante rend difficile le fonctionnement efficace du marché boursier en termes de monnaie locale.

    L’avantage de la BRVM

    Contrairement aux pertes dues aux devises observées sur certains marchés africains, la BRVM, une bourse régionale desservant huit pays d’Afrique de l’Ouest, offre des rendements solides en termes de monnaie locale et étrangère.

    L’indice composite de la BRVM, qui couvre les actions cotées à la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières, dont le siège est à Abidjan, en Côte d’Ivoire, a augmenté de 8,18 % en termes de monnaie locale au 12 juillet. Plus important encore pour les investisseurs internationaux, ces gains se traduisent par un rendement de 6,74 % en dollars américains et de 7,97 % en euros.

    La capacité de préserver les rendements pour les investisseurs étrangers découle de la devise utilisée dans ses pays membres. La bourse opère avec le franc CFA, qui est indexé sur l’euro à un taux fixe. Cette parité offre un niveau de stabilité et de prévisibilité qui fait cruellement défaut à de nombreuses autres devises africaines.

    Les huit pays desservis par la BRVM – Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal et Togo – sont tous membres de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). Ce bloc économique utilise le franc CFA d’Afrique de l’Ouest, qui maintient sa parité avec l’euro depuis 1999.

    Alors que les rendements sont plus modestes que sur certains autres marchés africains, l’écart minimal entre les rendements en monnaie locale et étrangère démontre la valeur de la stabilité monétaire. La légère différence est due aux fluctuations du taux de change euro-dollar plutôt qu’à une faiblesse du franc CFA lui-même. Les mouvements de l’euro ont également été beaucoup moins dramatiques que les dévaluations observées dans des pays comme l’Égypte et le Nigeria.

    Cette stabilité rend la BRVM attrayante pour les investisseurs averses au risque souhaitant obtenir une exposition aux actions africaines sans prendre de risques significatifs liés aux devises. Elle permet aux investisseurs de se concentrer davantage sur les fondamentaux des entreprises et les facteurs économiques plutôt que sur les risques de change et offre également un environnement plus prévisible pour les entreprises cotées.

    Cependant, la parité du franc CFA n’est pas sans controverse. Les critiques soutiennent qu’elle limite la flexibilité de la politique monétaire et maintient les pays membres trop dépendants de la France. Néanmoins, pour les investisseurs recherchant un juste milieu entre les marchés à forte croissance et à haut risque et la stabilité des économies développées, la BRVM offre une alternative convaincante.

    Le tableau d’ensemble

    Malgré les défis liés aux devises, de nombreux marchés boursiers africains ont affiché des performances impressionnantes en termes de monnaie locale en 2024.

    À noter également le Kenya, dont l’indice de référence boursier a rebondi de son creux précédent pour devenir l’un des meilleurs performeurs mondiaux. L’indice All-Share de la Bourse des Valeurs de Nairobi a enregistré un rendement de plus de 45 % pour les investisseurs en dollars cette année, après une perte de plus de 40 % en 2023.

    Ces chiffres soulignent le potentiel des marchés boursiers africains, notamment pour les investisseurs locaux ou ceux capables de couvrir le risque de change efficacement.

    Cependant, la différence marquée entre les rendements en monnaie locale et en dollars américains sur de nombreux marchés met en évidence le rôle crucial que joue la stabilité monétaire dans l’attraction et la rétention des investissements internationaux.

    Équilibrer croissance et stabilité

    Les fortunes divergentes des marchés boursiers africains en 2024 soulignent les défis complexes auxquels sont confrontées les économies du continent. Alors que de nombreux pays connaissent une croissance économique robuste et des marchés boursiers locaux en plein essor, l’instabilité monétaire menace de saper ces gains aux yeux des investisseurs internationaux.

    Pour des pays comme l’Égypte et le Nigeria, la voie à suivre consiste à équilibrer soigneusement la nécessité de taux de change compétitifs avec le désir de stabilité monétaire. Les deux nations travaillent avec des partenaires internationaux comme le FMI pour mettre en œuvre des réformes, mais le processus sera probablement progressif et potentiellement volatile.

    La situation du Zimbabwe reste particulièrement difficile, compte tenu de son histoire d’hyperinflation et de multiples crises monétaires. L’introduction de la monnaie ZiG représente une nouvelle tentative de stabiliser le système monétaire, mais il reste à voir si cet effort réussira là où d’autres ont échoué.

    Le succès relatif de la BRVM et de la zone franc CFA offre un modèle intrigant pour d’autres régions africaines à considérer. Bien que les unions monétaires complètes puissent ne pas être réalisables ou souhaitables pour tous les pays, explorer des moyens d’améliorer la coopération monétaire et de réduire la volatilité des taux de change pourrait aider à préserver les gains des marchés boursiers pour les investisseurs locaux et internationaux.

    Pour les investisseurs, la principale conclusion est l’importance croissante de regarder au-delà des rendements boursiers bruts lors de l’évaluation des opportunités d’investissement en Afrique. Les tendances des devises, les réformes économiques et la stabilité politique sont des facteurs cruciaux à considérer en plus de la performance des actions. Bien que le potentiel de rendements élevés existe, comme en témoigne la forte performance en monnaie locale de nombreux marchés, la gestion de l’exposition aux devises est essentielle pour réaliser des gains réels.

    Alors que l’Afrique continue de se développer et que ses marchés financiers mûrissent, la stabilité monétaire sera la clé pour débloquer le plein potentiel des marchés boursiers du continent. En attendant, les investisseurs devront naviguer prudemment, en équilibrant les opportunités passionnantes présentées par l’histoire de croissance de l’Afrique avec les risques très réels posés par la volatilité des devises.

  • African Stock Markets Are Booming. But Currency Woes Dampen Allure

    African Stock Markets Are Booming. But Currency Woes Dampen Allure

    Weak African currencies erode equity returns for dollar investors, dimming the continent’s appeal as a frontier market destination. The BRVM offers a compelling alternative.


    Almost everywhere you look in Africa, stock markets are soaring with some hitting unprecedented levels. Egyptian equities, as measured by the EGX 30 index, climbed another 0.45% in the week ending July 10. The benchmark index had surged over 13% since the start of the year in local currency terms – an impressive rally by any measure. But for international investors eyeing their returns in US dollars, the picture is far less rosy. 

    The Egyptian pound’s steep decline against the greenback had turned those double-digit gains into a painful -26% loss. This mirrors the paradox facing many African equity markets in 2024. While local stock indices post enviable gains, weak currencies in markets like Egypt, Nigeria, Zimbabwe and others are eroding returns for international investors and those measuring performance in US dollars or euros, dimming the continent’s appeal as a frontier market destination.

    Last month, one of the world’s largest asset managers BlackRock said it was liquidating its $400 million iShares ETF which had investments in countries like Nigeria and Kenya, citing tough economic conditions and currency issues. The liquidation points to broader systemic challenges in these markets: currency volatility has made it increasingly difficult for foreign investors to maintain stable returns, alongside market liquidity challenges and restrictions on the repatriation of profits.

    This development may prompt a reassessment of risk-reward profiles for African equities among global investors, potentially leading to a reduced inflow of foreign capital into these markets in the near term.

    Egypt’s Costly Reforms

    Egypt’s story is particularly striking. The dramatic divergence between equity returns in local and foreign currency terms stems from Egypt’s recent currency crisis. 

    In March 2024, the country implemented economic reforms, including a sharp devaluation of the Egyptian pound. The central bank hiked interest rates by 600 basis points and allowed the pound’s value to plummet against the US dollar.

    In March 2024, the country implemented economic reforms, including a sharp devaluation of the Egyptian pound.

    These measures were part of an $8 billion rescue package deal with the International Monetary Fund (IMF), expanded from a previous $3 billion agreement. The reforms aim to address the North African nation’s chronic foreign currency shortage and rampant inflation, which saw unsubsidized bread prices nearly double in just one year.

    While the devaluation may help make Egyptian exports more competitive and improve the country’s trade deficit, it has significantly diminished the purchasing power of Egyptians, nearly 30% of whom already live in poverty. For international investors, the currency’s decline has more than offset any stock market gains.

    Nigeria’s Naira Woes Overshadow Market Rally

    Nigeria presents a similar picture. The NGX All Share Index has soared 33.3% in naira terms since the start of 2024. Yet, when measured in US dollars, investors are looking at a -24.46% loss.

    The culprit? The Nigerian naira’s dismal performance. Bloomberg reported that the naira ended the first half of 2024 as the world’s worst-performing currency, weakening by 40% since the start of the year. This losing streak is the longest since July 2017 for one of Africa’s largest economies.

    FILE PHOTO: A man counts Nigerian naira notes in a marketplace in Yola, Nigeria, February 22, 2023. REUTERS/Esa Alexander/File Photo

    Nigeria has grappled with acute foreign exchange scarcity and instability for years, primarily due to lower crude oil production and a lack of economic diversification. Since June 2023, when President Bola Tinubu’s government introduced policy changes to attract inflows and revive the economy, the local currency has lost about 70% of its value against the dollar.

    Central Bank Governor Olayemi Cardoso has expressed optimism that the currency’s volatility may be subsiding. Since taking office in September, he has increased interest rates by 750 basis points to 26.25%, cleared a foreign exchange backlog, and negotiated multilateral dollar inflows to help stabilize the currency.

    However, the naira’s performance in the first half of 2024 suggests that significant challenges remain.

    Extreme Currency Volatility in Zimbabwe

    Zimbabwe’s situation is perhaps the most extreme. The Zimbabwe Stock Exchange (ZSE) All Share Index has plummeted 99.92% in local currency terms year-to-date. When converted to US dollars, this translates to a 62.95% loss.

    This decline comes as Zimbabwe recently announced the conversion of its domestic dollar balances into a new currency called Zimbabwe Gold, or ZiG. This move represents yet another attempt to stabilize the country’s volatile currency situation, which has seen multiple redenominations and periods of hyperinflation over the past two decades.

    The new ZiG currency is supposedly backed by gold reserves, with the central bank governor claiming 1.1 tons of gold in its vaults and additional reserves abroad. However, economists and citizens remain skeptical, given the country’s history of failed currency reforms.

    Despite the introduction of ZiG, around 85% of all transactions in Zimbabwe are still conducted in US dollars, highlighting the ongoing lack of confidence in the domestic currency. This persistent dollarization makes it challenging for the stock market to function effectively in local currency terms.

    ZiG represents yet another attempt to stabilize Zimbabwe’s volatile currency situation, which has lasted for two decades.

    The BRVM Advantage

    In stark contrast to the currency-driven losses seen in some African markets, the BRVM, a regional stock exchange serving eight West African countries, is delivering solid returns in both local and foreign currency terms.

    The BRVM Composite index, which covers stocks listed on the Bourse Régionale des Valeurs Mobilières headquartered in Abidjan, Côte d’Ivoire, has risen 8.18% in local currency terms through July 12th. More importantly for international investors, those gains translate to a 6.74% return in US dollars and a 7.97% return in euros.

    An ability to preserve returns for foreign investors stems from the currency used in its member countries. The exchange operates using the CFA franc, which is pegged to the euro at a fixed rate. This peg provides a level of stability and predictability that’s sorely lacking in many other African currencies.

    The eight countries served by the BRVM – Benin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinea-Bissau, Mali, Niger, Senegal, and Togo – are all members of the West African Economic and Monetary Union (WAEMU). This economic bloc uses the West African CFA franc, which has maintained its peg to the euro since 1999.

    While the returns are more modest than in some other African markets, the minimal gap between local and foreign currency returns demonstrates the value of currency stability. The slight difference is due to fluctuations in the euro-dollar exchange rate rather than weakness in the CFA franc itself. The euro’s movements have also been far less dramatic than the devaluations seen in countries like Egypt and Nigeria.

    This stability makes the BRVM an attractive option for risk-averse investors looking to gain exposure to African equities without taking on significant currency risk. It allows investors to focus more on company fundamentals and economic factors rather than currency risk and also provides a more predictable environment for the listed companies.

    However, the CFA franc peg is not without controversy. Critics argue it limits monetary policy flexibility and keeps the member countries too dependent on France. Nonetheless, for investors seeking a middle ground between high-growth, high-risk markets and the stability of developed economies, the BRVM offers a compelling alternative.

    The Bigger Picture

    Despite the currency challenges, many African stock markets have shown impressive performance in local currency terms in 2024.

    Of noteworthy mention is Kenya‘s stock benchmark, which swung from rock bottom earlier in the year to being one of the world’s best performers. The Nairobi Securities Exchange All-Share Index has returned over 45% for dollar investors this year, following a loss of more than 40% in 2023.

    These figures underscore the potential of African equity markets, particularly for local investors or those able to hedge currency risk effectively.

    However, the stark difference between local currency returns and US dollar returns in many markets highlights the critical role that currency stability plays in attracting and retaining international investment.

    Balancing Growth and Stability

    The divergent fortunes of African stock markets in 2024 underscore the complex challenges facing the continent’s economies. While many countries are seeing robust economic growth and booming local stock markets, currency instability threatens to undermine these gains in the eyes of international investors.

    For countries like Egypt and Nigeria, the path forward involves carefully balancing the need for competitive exchange rates with the desire for currency stability. Both nations are working with international partners like the IMF to implement reforms, but the process is likely to be gradual and potentially volatile.

    Zimbabwe’s situation remains particularly challenging, given its history of hyperinflation and multiple currency crises. The introduction of the ZiG currency represents yet another attempt to stabilize the monetary system, but it remains to be seen whether this effort will succeed where others have failed.

    The relative success of the BRVM and the CFA franc zone offers an intriguing model for other African regions to consider. While full currency unions may not be feasible or desirable for all countries, exploring ways to enhance monetary cooperation and reduce exchange rate volatility could help preserve stock market gains for both local and international investors.

    For investors, the key takeaway is the increasing importance of looking beyond headline stock market returns when evaluating African investment opportunities. Currency trends, economic reforms, and political stability are crucial factors to consider alongside equity performance. While the potential for high returns exists, as evidenced by the strong local currency performance of many markets, managing currency exposure is crucial to realizing gains in real terms.

    As Africa continues to develop and its financial markets mature, addressing currency stability will be key to unlocking the full potential of the continent’s stock markets. Until then, investors will need to navigate carefully, balancing the exciting opportunities presented by Africa’s growth story with the very real risks posed by currency volatility.

  • Ordre au marché vs ordre à cours limité : connaître la différence et savoir quand les utiliser

    Ordre au marché vs ordre à cours limité : connaître la différence et savoir quand les utiliser

    Les ordres au marché offrent rapidité et simplicité tandis que les ordres à cours limité offrent contrôle et protection. De nombreux investisseurs utilisent les deux pour optimiser leurs stratégies de trading.


    Investir dans les actions peut être un excellent moyen de constituer une richesse au fil du temps. Cependant, comprendre la mécanique de la passation des ordres est crucial pour réussir ses investissements.

    Deux types courants d’ordres utilisés par les investisseurs sont les ordres au marché et les ordres à cours limité. Ce blog expliquera les différences entre ces types d’ordres, leurs avantages et inconvénients, et quand les utiliser.

    Comprendre les ordres au marché

    Un ordre au marché est le type d’ordre le plus simple. Lorsque vous passez un ordre au marché, vous demandez à votre courtier d’acheter ou de vendre une action immédiatement au meilleur prix disponible. Les ordres au marché sont exécutés rapidement, ce qui est leur principal avantage.

    Par exemple, si vous souhaitez acheter des actions d’une entreprise et que vous passez un ordre au marché, votre transaction sera exécutée au prix du marché actuel. Cela signifie que si l’action se négocie à 50 $ par action, vous l’achèterez à ce prix ou très proche de celui-ci.

    Avantages des ordres au marché :

    Rapidité : Les ordres au marché sont exécutés presque instantanément.

    Simplicité : Ils sont faciles à passer et ne nécessitent pas de fixer un prix spécifique.

    Inconvénients des ordres au marché :

    Incertitude sur le prix : Le prix final d’exécution peut différer du dernier prix négocié, surtout sur les marchés volatils.

    Coûts plus élevés : Sur des marchés en mouvement rapide, vous pourriez payer plus que prévu pour un ordre d’achat ou vendre pour moins que prévu pour un ordre de vente.

    Lire aussi : Comment choisir une action : un guide pour les débutants

    Comprendre les ordres à cours limité

    Un ordre à cours limité vous permet de spécifier le prix auquel vous souhaitez acheter ou vendre une action.

    Pour un ordre d’achat à cours limité, vous fixez le prix maximum que vous êtes prêt à payer, et l’ordre ne sera exécuté que si le prix de l’action tombe à ce niveau ou en dessous. Pour un ordre de vente à cours limité, vous fixez le prix minimum que vous êtes prêt à accepter, et l’ordre ne sera exécuté que si le prix de l’action atteint ce niveau ou au-dessus.

    Par exemple, si vous souhaitez acheter des actions d’une entreprise mais que vous estimez que le prix actuel de 50 $ est trop élevé, vous pouvez passer un ordre d’achat à cours limité à 45 $. La transaction ne sera exécutée que si le prix de l’action baisse à 45 $ ou moins.

    Avantages des ordres à cours limité :

    Contrôle du prix : Vous avez le contrôle sur le prix auquel votre ordre est exécuté.

    Protection : Les ordres à cours limité peuvent vous protéger contre l’achat à un prix trop élevé ou la vente à un prix trop bas.

    Inconvénients des ordres à cours limité :

    Incertitude d’exécution : Il n’y a aucune garantie que l’ordre sera exécuté si l’action n’atteint pas le prix que vous avez spécifié.

    Complexité : Les ordres à cours limité nécessitent plus d’attention et une compréhension des conditions du marché.

    Quand utiliser les ordres au marché

    Les ordres au marché sont les mieux utilisés lorsque :

    La rapidité est essentielle : Vous devez exécuter une transaction rapidement, et le prix exact est moins important.

    Actions très liquides : L’action est très liquide avec des écarts serrés entre l’offre et la demande, ce qui signifie que la différence de prix entre l’achat et la vente est minime.

    Décisions de trading urgentes : Vous souhaitez entrer ou sortir d’une position immédiatement sans vous soucier des légères variations de prix.

    Par exemple, si vous utilisez l’application Daba pour investir dans des actions africaines, et que vous voyez une opportunité soudaine ou que vous devez vendre rapidement en raison des nouvelles du marché, un ordre au marché peut vous aider à agir rapidement.

    Lire aussi : Qu’est-ce qu’un indice ? Un guide pour les débutants sur les marchés boursiers

    Quand utiliser les ordres à cours limité

    Les ordres à cours limité sont les mieux utilisés lorsque :

    Le contrôle des prix est crucial : Vous souhaitez acheter ou vendre à un prix spécifique ou meilleur.

    Marchés volatils : L’action est volatile, et vous voulez éviter d’acheter à un pic ou de vendre à un creux.

    Actions peu liquides : L’action est moins liquide, et vous voulez garantir un prix équitable pour votre transaction.

    Sur Daba, par exemple, vous pourriez trouver une entreprise prometteuse cotée à la BRVM. Si vous estimez que le prix actuel est trop élevé mais anticipez une baisse, passer un ordre à cours limité vous assure d’acheter uniquement au prix que vous jugez acceptable.

    Combiner les ordres pour un trading efficace

    De nombreux investisseurs expérimentés utilisent une combinaison d’ordres au marché et d’ordres à cours limité pour optimiser leurs stratégies de trading.

    Par exemple, ils peuvent passer un ordre à cours limité pour acheter une action à un prix plus bas tout en définissant un ordre au marché pour vendre si l’action atteint un certain prix élevé rapidement.

    Daba Pro offre des outils de trading avancés et des analyses, vous aidant à décider quand utiliser les ordres au marché par rapport aux ordres à cours limité. Avec Daba Pro, vous pouvez accéder à des analyses de marché détaillées et des conseils d’experts pour affiner votre stratégie de trading, vous assurant de prendre des décisions éclairées.

    Conseils pratiques pour utiliser les ordres au marché et à cours limité

    Surveillez les conditions du marché : Gardez un œil sur les tendances du marché et les nouvelles susceptibles d’affecter les prix des actions.

    Fixez des prix réalistes : Lors du passage d’ordres à cours limité, fixez des prix qui reflètent les conditions du marché et des attentes réalistes.

    Révisez vos ordres : Examinez et ajustez régulièrement vos ordres si nécessaire pour répondre aux conditions changeantes du marché.

    Avec Daba, vous pouvez facilement suivre les tendances du marché, examiner votre portefeuille et ajuster vos ordres. L’interface conviviale de la plateforme vous permet de rester informé et de contrôler vos investissements.

    Conclusion

    Comprendre les différences entre les ordres au marché et les ordres à cours limité est essentiel pour tout investisseur. Les ordres au marché offrent rapidité et simplicité, ce qui les rend idéaux pour les transactions rapides sur les marchés liquides. Les ordres à cours limité offrent contrôle et protection, les rendant adaptés aux marchés volatils ou peu liquides.

    Que vous soyez un investisseur chevronné ou nouveau dans le monde de l’investissement, l’application Daba offre les outils et services dont vous avez besoin pour prendre des décisions éclairées. Des données de marché en temps réel aux analyses d’experts avec Daba Pro, notre plateforme est conçue pour vous aider à naviguer dans le monde complexe et dynamique de l’investissement dans les actions africaines avec confiance et clarté.

    Téléchargez l’application Daba aujourd’hui pour améliorer vos stratégies de trading et tirer le meilleur parti de vos investissements.

  • Market Order v Limit Order: Know The Difference & When to Use Them

    Market Order v Limit Order: Know The Difference & When to Use Them

    Market orders provide speed and simplicity while limit orders offer control and protection. Many investors use both to optimize their trading strategies.


    Investing in stocks can be an excellent way to build wealth over time. However, understanding the mechanics of placing trades is crucial for successful investing.

    Two common types of orders investors use are market orders and limit orders. This blog will explain the differences between these order types, their advantages and disadvantages, and when to use them.

    Understanding Market Orders

    A market order is the most straightforward type of order. When you place a market order, you instruct your broker to buy or sell a stock immediately at the best available current price. Market orders are executed quickly, which is their primary advantage.

    For example, if you want to buy shares of a company and you place a market order, your trade will be executed at the current market price. This means if the stock is trading at $50 per share, you will buy it at that price or very close to it.

    Advantages of Market Orders:

    Speed: Market orders are executed almost instantly.

    Simplicity: They are easy to place and don’t require setting a specific price.

    Disadvantages of Market Orders:

    Price Uncertainty: The final execution price may differ from the last traded price, especially in volatile markets.

    Higher Costs: In fast-moving markets, you might end up paying more than anticipated for a buy order or selling for less than anticipated for a sell order.

    Also Read: How to Pick a Stock: A Guide For Beginners

    Understanding Limit Orders

    A limit order allows you to specify the price at which you want to buy or sell a stock.

    For a buy limit order, you set the maximum price you are willing to pay, and the order will only execute if the stock’s price falls to or below that level. For a sell limit order, you set the minimum price you are willing to accept, and the order will execute only if the stock’s price rises to or above that level.

    For example, if you want to buy shares of a company but believe the current price of $50 is too high, you can place a buy limit order at $45. The trade will only execute if the stock price drops to $45 or lower.

    Advantages of Limit Orders:

    Price Control: You have control over the price at which your order is executed.

    Protection: Limit orders can protect you from buying at too high a price or selling at too low a price.

    Disadvantages of Limit Orders:

    Execution Uncertainty: There’s no guarantee that the order will be executed if the stock doesn’t reach your specified price.

    Complexity: Limit orders require more attention and understanding of the market conditions.

    When to Use Market Orders

    Market orders are best used when:

    Speed is essential: You need to execute a trade quickly, and the exact price is less important.

    Highly Liquid Stocks: The stock is highly liquid with tight bid-ask spreads, meaning the price difference between buying and selling is minimal.

    Urgent Trading Decisions: You want to enter or exit a position immediately without concern for slight price variations.

    For instance, if you’re using the Daba app to invest in African stocks, and you see a sudden opportunity or need to sell quickly due to market news, a market order can help you act swiftly.

    Also Read: What is an Index? A Beginner’s Guide to Stock Markets

    When to Use Limit Orders

    Limit orders are best used when:

    Price Control is Crucial: You want to buy or sell at a specific price or better.

    Volatile Markets: The stock is volatile, and you want to avoid buying at a peak or selling at a trough.

    Illiquid Stocks: The stock is less liquid, and you want to ensure a fair price for your trade.

    On Daba for instance, you might find a promising company listed on the BRVM exchange. If you believe the current price is too high but anticipate a drop, placing a limit order ensures you only buy at the price you’re comfortable with.

    Combining Orders for Effective Trading

    Many experienced investors use a combination of market and limit orders to optimize their trading strategies.

    For example, they might place a limit order to buy a stock at a lower price while setting a market order to sell if the stock reaches a certain high price quickly.

    Daba Pro offers advanced trading tools and insights, helping you decide when to use market orders versus limit orders. With Daba Pro, you can access detailed market analysis and expert advice to refine your trading strategy, ensuring you make well-informed decisions.

    Practical Tips for Using Market and Limit Orders

    Monitor Market Conditions: Keep an eye on market trends and news that could affect stock prices.

    Set Realistic Prices: When placing limit orders, set prices that reflect market conditions and realistic expectations.

    Review Your Orders: Regularly review and adjust your orders as needed to respond to changing market conditions.

    With Daba, you can easily track market trends, review your portfolio, and adjust your orders. The platform’s user-friendly interface ensures you stay informed and in control of your investments.

    Conclusion

    Understanding the differences between market orders and limit orders is essential for any investor. Market orders provide speed and simplicity, making them ideal for quick trades in liquid markets. Limit orders offer control and protection, making them suitable for volatile or illiquid markets.

    Whether you’re a seasoned investor or new to the world of investing, the Daba app offers the tools and services you need to make informed decisions. From real-time market data to expert insights with Daba Pro, our platform is designed to help you navigate the complex and dynamic world of investing in African stocks with confidence and clarity.

    Get the Daba app today to enhance your trading strategies and make the most of your investments.